miércoles, 15 de diciembre de 2010

Je vous dois plus que ma liberté!


Monsieur le Directeur,


Après avoir beaucoup réflechi, en fait, pendant plus de dix ans, j'ai finalement pris la décision de vous écrire car c'est, sans doute, grâce à vous que maintenat je suis un homme libre.


Je me souviens que lors de mon arrivée à votre maison d'arrêt vous êtes venu me rendre visite dans ma cellule, la première nuit que j'y suis resté. Même si vous aviez l'air sérieux, c'était votre voix qui laissait voir comment vous étiez vraiment, un homme gentil et compréhensif, malgré votre métier. C'est pourquoi je voudrais vous raconter ma fuite. En effet, le jour où vous avez reçu un invité très important, le même jour où vous aviez laissé la porte d'entrée ouverte, je me promenais tout seul, sans aucune pensée dans ma tête. Quand je me suis aperçu de votre négligence par rapport à la porte, je suis resté impassible un petit moment. J'ai bien ouvert mes yeux pour me convaincre que ce que je voyais c'était réel et pas une hallucination provoquée par des nuits d'insomnie. Donc, j'ai réalisé qu'une opportunité comme celle-là ne se réproduirait plus, et je suis sorti tout à l'aise, comme si je sortais de chez moi pour aller chez le coiffeur. Je vous assure que même si j'avais l'allure calme, mon coeur battait si fort que je ne pouvais pas comprendre comment personne ne s'en rendait compte.


Alors, cher directeur, je dois vous dire merci. Merci parce que grâce à vous, j'ai pu en sortir et j'ai pu changer aussi, améliorer en tant que personne. Comme vous voyez, je vous dois plus que ma liberté, je vous dois tout ce que je suis aujourd'hui.


Il faut dire au revoir maintenant, les rues de Paris sont tellement bruyantes, ¿n'est-ce pas? J'éspère que je vous verrai un jour pour vous serrer la main.


Bien à vous,


Serge LeLoup

lunes, 6 de diciembre de 2010

La Pub, on en a plus qu'assez!

Monsieur le Directeur,

Je vous écris cette lettre parce que je suis assez fâché en raison de la durée de spots publicitaires que votre chaîne de télévision diffuse entre neuf heures et dix heures du soir.

D’abord, je vais vous expliquer un peu mes raisons pour que vous puissiez me comprendre mieux. Je ne suis qu’un parmi beaucoup de téléspectateurs qui, jour après jour, suivent les scandales des fameux. Donc, de lundi à vendredi lorsque j’arrive chez moi après avoir travaillé toute la journée, je n’ai qu’une seule pensée : ¿S'est-il passé quelque chose d'intéressant dans « Chollywood »? Comme vous avez déjà sûrement deviné, « Magaly TeVe » est l’émission qui m’en donne toute l’information que je veux. Bref, cette émission complète ma journée, en fait, je profite de cette lettre pour vous remercier pour continuer à la transmettre malgré la mauvaise réputation de sa conductrice.

Alors, je reviens à mon récit. Il y a une semaine, je me suis aperçu que la quantité des publicités a énormément augmenté. Si avant il n’y avait que trois ou quatre pauses publicitaires, la semaine dernière j’ai pu en compter un total de six. Chacune d’elles durant quatre ou parfois cinq minutes. Or, je ne suis pas une personne intransigeante. Je conviens que toutes les émissions ont besoin de sponsors, mais même si c’est le cas, je pense qu’il faudrait en réduire la durée. Hier par exemple, j’étais très enthousiasmé car Magaly avait promis qu’elle passerait des images du mariage religieux de Florcita, la fille de Susy Díaz, avec le chanteur de cumbia, Néstor Villanueva. Pourtant, à cause de spots publicitaires, il n’y a pas eu assez de temps pour présenter la note correspondant au mariage. Vous pouvez imaginer la rage que j’ai ressentie à ce moment-là. Cet événement avait été annoncé depuis la semaine dernière et je suis sûr que je ne suis pas la seule personne qui a éprouvé un sentiment de déception quand Magaly a dit que l’on devrait attendre jusqu'à lundi pour en savoir tout. C’est pourquoi je me suis vu contraint à vous écrire pour vous demander d’y réfléchir.

En vous remerciant par avance de l'attention que vous voudrez bien porter à cette lettre, j’espère que vous prendrez les mesures qu’il faille, quoi qu’elles soient, pour que ce type de situations ne s’arrivent plus.

domingo, 5 de diciembre de 2010

Toujours plus vite, toujours plus loin, toujours plus haut...

La phrase étant au-dessus est, à mon avis, tout à fait vraie. J’affirme cela parce que mes propres expériences me le corroborent. D’abord, je dois dire que je l’ai déjà entendue plusieurs fois. Ce sont mes parents qui me l’ont dit. Même si les mots qu’ils ont utilisés n’étaient pas exactement les mêmes, le sens de la phrase si.

Premièrement, c’est mon père qui insiste toujours sur le fait qu’il faut que je termine ma carrière à l’université. Lui, il a terminé la sienne à trente trois ans et il pense que je ne dois pas du tout suivre son exemple. Au contraire, il est de l’avis que je n’ai même pas dû commencer à travailler. Moi, je ne suis pas d’accord. Je crois que les choses se sont déroulées de telle manière que je me suis vu obligé à laisser mes études de côté, c’est vrai, mais cela ne veut pas dire que je n’aille pas les reprendre éventuellement. Dans tout cas, ce dont je suis sûr c’est que je ne garde pas aucun regret à propos de mes ans à l’ICPNA.

En deuxième lieu, les idées d’aller plus loin et d’aller plus haut représentent, je pense, l’espoir de tous les parents du monde. Il n’est pas besoin d’être très intelligent pour comprendre cela. Trouver des personnes qui soient complètement satisfaites avec leurs vies n’est si facile comme on le croirait Souvent, on entend des gens se plaindre des choses qu’ils n’ont pas pu faire, des lieux où ils ne sont jamais allés ou des projets qu’ils avaient qui ne sont jamais devenus réalité. Donc, lorsqu’on devient mère ou père, on a ce désir, cet espoir comme j’avais dit au début de ce paragraphe, que nos enfants nous surpassent ou qu’ils « aillent plus loin et plus haut ». Le problème (il y a en toujours un) c’est que parfois les parents arrivent à imposer leurs rêves à leurs enfants au lieu de les laisser découvrir les leurs eux-mêmes.

Bref, la société dans laquelle on vit nous demande de faire tout plus vite et d’aller plus loin et plus haut. Nos parents auront toujours leurs idées de comment on doit vivre notre vie, mais à la limite, c’est à nous d’en profiter comme on veut. Après tout, la vie n’est qu’une seule, ¿est-ce que l’on veut vraiment se dépêcher?

sábado, 20 de noviembre de 2010

Amour radial

Je n’ai pas eu de rencontres si spéciales dans ma vie, celles que quand on les raconte, laissent les gens avec la bouche ouverte. Au contraire, j’ai connu la plupart de mes amis et mes connaissances d’une manière assez traditionnelle : à l’école, à l’université, dans mon travail, etc. Bien entendu, je n’ai que vingt-et-un ans, je suis sûr qu’au futur, j’aurai des rencontres plus intéressantes. Pourtant, une femme qui a eu une rencontre très particulière est Rebecca, la cousine de ma mère.

Rebecca aime la musique. Elle l’a aimée depuis son enfance. Quand elle avait trente cinq ans, elle avait assez de raisons pour devenir complètement folle. D’abord, elle venait de terminer une relation de dix ans. Le pire ? Elle ne voulait pas terminer, pas du tout. Pour ne pas m’éloigner tant du fait que je veux raconter je dirai seulement que la personne avec qui elle était liée (un arabe) avait décidé qu’il voulait se marier avec elle, avec la condition qu’elle lui donne un fils. Mais la vie, apparemment, avait d’autres plans pour ma tante. Quelle surprise pour eux deux lorsqu’ils sont allés chez le médecin (ils avaient essayé d’avoir un enfant pendant plusieurs mois mais rien ne s’était pas passé malgré leurs « efforts ») et il leur a dit, avec beaucoup de conviction et avec le froideur caractérisant les médecins, que Rebecca ne pouvait pas en avoir. Pour lui (l’arabe dont j’ai oublié le nom) ceci c’était ce que les américains appellent « deal breaker » c’est à dire, un événement ou circonstance déterminant si un couple continuera ensemble ou non. Donc, après de dix ans, il a laissé ma tante seule. Évidemment, au début, elle était vraiment détruite, et pour faire les choses pires encore, elle était au chômage en ce moment-là. Alors, elle restait toute la journée, souvent en pleurant, dans l’appartement que son arabe, en toute sa générosité, avait décidé de laisser dans sa possession.

J’avais dit que je ne voulais pas m’éloigner tant du fait, mais je vois que je n’ai pas réussi. Donc, je vais reprendre mon récit. Comme je disais, Rebecca aimait la musique, et comme ce qu’elle avait en abondance c’était du temps libre, elle a pris l’habitude d’écouter la radio. Je ne sais pas si la station de radio « Ké Buena » existe encore, mais elle l’écoutait religieusement. Parfois, elle même appelait le présentateur, qui selon elle avait une voix très sexy, pour qu’il mette les chansons qu’elle souhaitait écouter. Même s’ils ne s’avaient jamais vu, ils avaient une certaine chimie par téléphone. Chimie qui a fait que me tante réalise un appel téléphonique à cette station de radio tous les jours. Ainsi, ils ont commencé à se connaître. Il les a pris un mois environ pour décider de se mettre face á face dans la vie réelle. De cette manière, ma tante a connu la personne qui deviendrait, pour ainsi dire, son sauveur. Il l’a beaucoup aimée et surtout il l’a aidée à sortir de la dépression dans laquelle elle vivait.

Cette histoire me fait penser à beaucoup de choses. D’abord, le fait que bien qu’on croie que ceux qui disent nous aimer ne nous blesseront jamais, ils peuvent le faire, c’est pour cela qu’il faut réfléchir et décider bien à qui on donne notre confiance totale. D'un côté plus positif, pourtant, il est aussi important de maintenir les yeux, et comme ma tante, les oreilles bien ouvertes, car on ne sait pas quand ou par quel moyen on connaîtra la prochaine personne qui nous fera sentir des papillons dans l’estomac.

miércoles, 17 de noviembre de 2010

Loisir et culture, la combinaison magique

La plupart de gens, lorsqu’ils pensent à la culture ne pensent qu’aux monuments historiques. Bien entendu, ce type de lieux sont considérés comme culturelles par nous tous. Cependant, il ne faut pas oublier les enfants. Ils ne s’intéressent pas aux monuments qu’il y a, mais par les parcs d’attractions et de loisirs. Donc, la question qu’on doit se poser est la suivante : les parcs d’attraction et de loisirs, ¿sont-ils « lieux de culture « ?

À mon avis, la réponse à la question que je viens de poser serait non. Au moins au Pérou, je ne crois pas qu’il existent des parcs de loisirs qui soient aussi lieux culturelles. Les parcs qu’on trouve ici on les voit (et on les utilise) comme lieux pour s’amuser, et c’est tout. Les enfants y vont pour jouer avec d’autres enfants, ou même seuls, et les parents y vont pour se détendre un peu en laissant leurs enfants jouer tranquillement.

Néanmoins, si on vraiment souhait que les parcs dont j’ai parlé deviennent lieux culturelles, il faudrait qu’on les change un peu. D’abord, combiner la culture avec le loisir n’est pas si facile comme quelques-uns croient. Cette combinaison doit être claire pour les parents, mais il est très important qu’elle ne soit pas notée par les enfants, car s’ils s’en aperçoivent, il y a la possibilité qu’ils ne veuillent même pas s’approcher de ces parcs.

En somme, je suis de l’avis que maintenant, il n’y a aucun parc combinant culture et loisir dans notre pays. Cela ne veut pas dire, bien sûr, qu’il n’y en ait pas dans le futur. Si l’État continue à considérer la culture comme partie importante dans le développement général des citoyens, et surtout des enfants, je crois qu’on peut être sûr qu’au futur, on aura beaucoup de parcs donnant pas seulement loisirs, mais un peu de culture aussi aux enfants.

viernes, 12 de noviembre de 2010

L'internet: une source de quoi, exactement ?

Personne ne pourrait nier l’effet que l’Internet a eu dans nos vies. En fait, il y a plusieurs qui affirment que l’Internet a totalement bouleversé le monde et surtout notre manière de nous communiquer. Laissant d’un côté l’aspect communicatif, les entreprises mondiales se sont aperçues aussi des avantages qu’elle peut signifier pour leur business. De plus, beaucoup de chanteurs et chanteuses ont achevé leur notoriété initiale grâce à elle. En somme, l’Internet est présente dans presque tous les secteurs qu’on puisse imaginer, et son apparition a marqué un « avant » et un « après » dans l’histoire des êtres humains.



L’Internet, pourtant, n’a pas pu se libérer des critiques fortes, et a même causé beaucoup de controverse depuis son utilisation massive. D’abord, l’Internet a été accusé pour promouvoir la sédentarité. Cet argument vient surtout des parents préoccupés qui voient tous les jours comment leurs enfants passent beaucoup trop d’heures devant l’ordinateur. Ils ne peuvent pas concevoir qu’un appareil électronique leur donne tant de satisfaction. Les parents se plaignent souvent de l’Internet parce que selon eux, c’est la cause pour laquelle les enfants deviennent moins actifs.

Par rapport à l’éducation, l’Internet a dû y affronter des critiques négatives aussi. Plusieurs professeurs ont remarqué qu’avant, pour faire un travail d’investigation par exemple, les élèves devaient aller à la bibliothèque, chercher des livres, analyser des paragraphes pour pouvoir finalement faire leur travail. Néanmoins, ils pensent que l’Internet fait les choses trop faciles pour eux, car ils ne doivent que surfer sur Internet pour trouver, en question de minutes, les informations dont ils ont besoin. Il y des cas pires même, où les élèves ne font rien et cherchent des travaux déjà terminés par d’autres personnes et ils les présentent comme s’ils les avaient fait.

Finalement, l’Internet joue un rôle en ce qui concerne à la piraterie parce que, avec l’Internet, on peut écouter des disques entiers sans rien payer, on peut regarder des films qui ne se sont pas encore projetés, et on peut même lire des livres gratuitement. La piraterie fait que les chanteurs, les auteurs, les écrivains et les studios de cinéma perdent beaucoup d’argent. On dirait que cela ne nous intéresse pas, on gagne car on ne dépense rien d’argent, mais il ne faut pas oublier que la piraterie est considérée un crime.

Il y a autant ou plus de personnes pour l’Internet qu’il y en a contre elle. En premier lieu, on doit admettre que l’Internet nous apporte la promptitude. On se trouve souvent dans des situations où il nous faut trouver quelques informations de manière immédiate, donc, avec l’Internet on peut le faire.

L’Internet aussi est devenue l’épitomé de la communication. Avant, quand quelqu’un qu’on aimait voyageait à l’étranger, on ne pouvait que nous communiquer avec cette personne par téléphone. Cependant, l’Internet nous permet de parler avec ceux qu’on aime et de les voir aussi en utilisant notre webcam. En profitant des fameux réseaux sociaux, on est toujours en contact avec notre famille et nos amis.

Finalement, l’Internet a ouvert la porte de l’expression de soi même. Il ne faut plus être un écrivain connu ou un chanteur populaire pour être lu ou écouté. Avec la magie d’Internet, on peut se donner à connaître au monde entier. Il y a des millions de personnes qui ont un blog et qui y trouvent des gens qui ont les mêmes goûts et désires qu’eux.

L’Internet est maintenant plus qu’un site virtuel. C’est tout un concept, lié à la communication et à la mondialisation. Quelque chose si grande apporte toujours des opinions opposées. Mais ce qu’on doit tenir en compte, à mon avis, c’est qu’elle n’est qu’un instrument créé par nous-mêmes et qu’on a finalement le choix de l’utiliser. Il est vrai que dans les mains erronées, l’Internet peut servir comme un instrument négatif, même illégal, mais on ne doit pas laisser que cela nous empêche d’en profiter. Il est simplement un signe qui laisse voir que l’Internet dépende de la personne qui l’utilise.

martes, 9 de noviembre de 2010

No al conformismo

La première chose dont je me suis aperçu au moment de vouloir commencer à écrire c’est que, des personnes ayant une grande passion et qui font tout ce qu’elles peuvent pour la vivre, n’est pas précisément facile. Il est impossible d’affirmer avec une certitude absolue les raisons pour lesquelles les gens en général laissent leur vraie passion d’un côté et dédient leurs vies à des autres activités, mais ce qu’on peut faire, à manière peut-être d’introduction, c’est essayer de lister quelques idées pour mieux comprendre ce thème.
En premier lieu, je considère que pour poursuivre nos rêves, il faut avoir beaucoup de courage. Je dis cela parce que, souvent, la vie nous présente des obstacles qu’on doit envisager. Ces obstacles ne sont pas toujours de situations, mais de personnes s’opposant à nos objectifs. Par exemple, même dans les temps modernes dans lesquels on vit maintenant, la plupart de parents n’acceptent pas que leur fils ou leur fille veuille se consacrer aux arts. Ils pensent, j’imagine, que pour avoir une bonne vie, on doit trouver un travail qui nous donne de la stabilité et, bien sûr, assez d’argent pour bien vivre. Pourtant, à mon avis, c’est faire ce qu’on souhaite avec toutes nos forces ce qui donne finalement le bonheur.

En deuxième lieu, je crois qu’il y a de personnes qui simplement se laissent attraper par la routine et ne s’en sortent jamais. Lorsqu’ils trouvent la commodité qui apporte la routine, ils sentent qu’ils n’ont plus besoin de continuer à chercher des autres choses ou des autres expériences.

Il y a deux semaines, j’ai rencontré une fille de vingt quatre ans. Elle s’appelle Nadja et elle est allemande. Sa passion est voyager. Le jour que je l’ai connue, elle m’a beaucoup parlé de sa passion. Elle m’a dit par exemple que, depuis son enfance, elle avait toujours le désir de connaître plusieurs pays. Elle s’intéressait par les diverses cultures du monde et les coutumes que chacune a. Après terminer le collège, elle voulait prendre un an sabbatique pour voyager autour du monde. Cependant, ses parents n’ont pas aimé son idée. Ils voulaient qu’elle commence un métier immédiatement après du collège. Elle a été furieuse d’abord, mais, au même temps, elle comprenait les préoccupations de ses parents. Donc, elle a accepté. En fait, elle a su profiter de son temps parce qu’elle étudiait et travaillait au même temps. L’argent qu’elle gagnait, elle le conservait pour qu’elle puisse l’utiliser dans les voyages qu’elle ferait.

Lorsqu’elle a fini son métier, sans hésiter, elle a pris son sac à dos et elle s’est mise à voyager. Grâce aux contacts qu’elle avait fait dans les travails qu’elle avait eu, elle n’a pas eu de problèmes au moment de voyager. Elle est très contente d’être ici maintenant, mais sa famille lui manque, surtout sa petite sœur. Son histoire me fait penser que si on vraiment désire quelque chose, n’importe quoi, ce n’est qu’à nous de le faire possible.

miércoles, 3 de noviembre de 2010

Généraliser? Jamais!

Les stéréotypes ne sont que des idées préconçues qu'on a d'un certain groupe de personnes. Ces idées viennent usuellement des membres de notre famille ou du groupe d'amis qu'on fréquente. De plus, les moyens de communication contribuent parfois à les renforcer dans nos cerveaux. Il existe. bien sûr, des stéréotypes positifs et negatifs. Ceux qui sont negatifs peuvent même causer des problèmes si graves comme la discrimination.

Personellement, j'ai appris à ne pas faire confiance aux stéréotypes. En fait, je suis de l'avis qu'il ne faut pas généraliser; Je trouve que cela c'est vraiment la pire chose qu'on pourrait faire, car en généralisant, on nie pratiquement le fait que chaque personne est unique. Je ne dis pas qu'il n'y ait pas quelques traits ou attitudes caractéristiques de certains groupes, mais ceci ne veut pas du tout dire qu'il n'y ait pas de personnes appartenant à un groupe en particulier qui vont contre la règle, ou dans ce cas-là, contre le stéréotype. Sinon, toutes les femmes seraient des mauvaises conductrices, tous les hommes seraient émotionellement fermés, et tous les avocats seraient immorals.
Quand j'étais aux États-Unis, la plupart d'americains qui m'ont connu, m'ont dit qu'ils pensaient que tous les péruviens habitaient dans les montagnes et que nous avions des lamas comme animaux de compagnie. En leur montrant des photos miennes, ils se sont rendu compte qu'ils avaient fait une grande erreur en croyant un ridicule stéréotype!

sábado, 30 de octubre de 2010

Lobo, qué estás haciendo?

Le loup marchait tranquillement par la forêt en chantant sa chanson préférée quand, tout à coup, il a ressenti que quelque chose s'approchait à lui. Au début, il n'a pas voulu se retourner car il pensait qu'il serait mieux de ne pas donner l'impression qu'il se rendait compte de l'existence de quelque chose étant proche de lui. Donc, il a continué a marchar, mais cette fois-là, sans chanter. Comme il ne chantait pas, il a pu entendre des pas derrière lui. Fatigué de ne pas savoir avec sûreté si quelqu'un le suivait ou non, il s'est finalement retourné. Rien. Tout ce qu'il pouvait voir c'était des arbres et des plantes. En souriant, il a repris son chemin, mais au moment de faire le premier pas, un officier de police est sorti de l'ombre d'un arbre se trouvant juste à côté de lui.

L'officier, sans perdre de temps, lui a demandé où il allait. Le loup ne comprenait pas pourquoi il lui demandait cela. Il n'avait encore rien fait. Avec aisance, le loup a finalement dit les trois mots qui eventuellement rendraient fou à l'officier: à mes affaires. L'officier n'était pas satisfait avec cette réponse, donc il a répété sa question en criant. Le loup, en se rendant compte de comment l'officier continuait à se mettre en colère, a commencé à rire et à le ridiculiser.

-Mais, t'es sourd, toi, hein! J'ai déjà dit que je vais à mes affaires, fin de l'histoire! -a dit le loup en le regardant avec supériorité.

Fatigué et visiblement énervé, l'officier a mis sa main droite dans sa casaque.

-T'es sûr que tu ne veux pas me dire où tu te diriges? -a demandé l'officier, plus calme maintenant.

Mais le loup ne l'écoutait plus. Il était trop occupé en faisant une danse moqueuse. En ce moment-là, l'officier a sorti un pistolet et a tiré de la gâchette, en provoquant ainsi, que tous les oiseaux qui se trouvaient près d'eux, sortent effrayés des arbres et s'échappent de là-bas. Le loup a immédiatement arrêté de danser et au moment de voir le pistolet dans la main de l'officier, il s'est mis à genoux et, avec des larmes dans les yeux, l'a prié de ne pas le tuer.

-Mais alors, mon cher officier, j'ai horreur des armes à feu! Je te le dis, je te le dis! Je vais chez la grandmère du petit chaperon rouge! -a crié le loup en frémissant

miércoles, 27 de octubre de 2010

¿Que pensez-vous du port de l'uniforme à l'école?

En ce qui concerne le port de l'uniforme à l'école, il faut que je souligne que mon opinion sur ce thème n'a pas toujours été la même. En fait, quand j'étais un élève moi-même, j'étais complètement contre cela. Néanmoins, maintenant que j'ai vingt et un ans, je me rends compte des plusieurs avantages que le fait de port un uniforme scolaire donne aux élèves.

En premier lieu, je pense que l'égalité doit, sans aucun doute, exister à l'école, et je trouve que, en demandant aux élèves de porter le même uniforme tous, on envoie, d'une manière pas trop évidente, le message qu'on croit à l'égalité. Si les uniformes n'étaient pas obligatoires, cela pourrait provoquer de la discrimination. Quelques élèves pourraient même commencer à critiquer un copain de classe à cause des vêtements qu'il porte. Bien entendu, je n'affirme pas que ceci arriverait dans toutes les écoles, mais il ne faut pas oublier que s'il y a un temps où on a besoin d'être accepté par des autres, c'est l'adolescence. Se sentir inférieur à cause de ne pas avoir des vêtements si chers et modernes comme les autres élèves est précisement le dommage à l'éstime de soi dont je parle. En appliquant une mesure si simple comme faire le port de l'uniforme obligatoire, on aide les élèves à mieux se sentir, et surtout, égaux aux autres.

En deuxième lieu, je crois que le port de l'uniform est nécessaire pour que les élèves s'identifient avec leur école. On ne peut pas oublier qu'on y passe plus de dix ans, et il est triste quand on entend quelqu'un parler de son école d'une manière froide, comme si les plus-de-dix-ans qu'ils y ont étudié n'avaient pas eu aucune signification pour eux. Je considère que, en ayant un uniforme, le sentiment d'identification et d'appartenance à un centre d'études particulier s'intensifie, et, en conséquence, les valeurs que l'école transmet restent a l'intérieur de chaque personne.

Les deux raisons que j'ai mises ici sont les raisons pour lesquelles j'estime qu'il faut porter un uniforme à l'école. Cela ne veut pas dire qu'il n'y ait pas d'autres raisons mais je suis interessé à écouter des autres points de vue. Je souhaterais seulemente que si vous décidez de repondre à ce texte, vous le fassiez respectueusement. Merci à ceux qui ont eu le temps de le lire et j'attends vos commentaires!


viernes, 15 de octubre de 2010

Sergio, le lutteur

Je ne peux qu'écouter mes propes pensées. J'entends à distance quelques mots, quelques phrases qui me font sourire. Je prends mon temps pour m'asseoir. Je sais ce qui vient d'arriver. Je viens de gagner mon premier combat. Les phrases probablement viennent des tribunes où se trouvent les autres péruviens. Un énorme sentiment de joie rempli mon corps entier. Je n'ai jamais joué au football mais j'imagine que ce que je ressens maintenant, les jouers ressentent aussi au moment de sortir au terrain ou après avoir marqué un but.
De ma place, je vois comment deux garçons sont appellés par l'arbitre. Soudain, je comprends que celui gagnant sera mon adversaire. Les deux garçons se battent. Le plus grand d'eux a la peau si blanche qu'il est impossible de savoir où commence son uniforme. Le combat se deroule devant mes yeux, qui, à toute vitesse, essaient de suivre chaque mouvement, chaque attaque, chaque technique utilisée dans le but d'être préparé.
Lorsque l'on finalement m'appelle, je suis raide comme une statue. Après un deuxième appel je suis enfin capable de me lever et de me mettre en face de mon adversaire. Le mec ayant des jambes longues comme deux échalas avait gagné et il me regardait attentivement. Tout devient lent, comme si l'on se trouvait dans une autre dimension. D'un moment à l'autre j'entends des voix venant des tribunes. Bouge-toi, Sergio! Bouge-toi! Et, bon, j'ai fait justement cela.

viernes, 8 de octubre de 2010

Marie Antoinette, un film de Sofía Coppola


Marie Antoinette est un film qui m'a laissé très pensif jours après l'avoir vu. Ce n'est pas un des meilleurs films que j'ai vu. Il n'est même pas (à mon avis bien sûr) le meilleur de sa réalisatrice Sofía Coppola. Mais ce qu'il est (et ceci je crois que personne ne le pourrait nier) c'est un film possédant une beauté visuelle incroyable. En fait, c'est en grande partie gràce à cela que l'experience de le voir est vraiment delicieuse, et c'est pour cela aussi que cet unique film se laisse voir si facilement.



Le film raconte l'histoire de Marie Antoinette. En ce moment j'imagine qu'il y a des personnes en train de se demander qui est-elle. Ou peut-être personne ne lisera jamais cette petite redaction et bon, pas de problème. Bon, dans tous cas ne vous inquiétez pas. Je vous assure qu'avant de voir ce film je n'avais aucune idée non plus. Comme je disais le film raconte l'histoire de Marie Antoinette, la femme qui est devenue reine de France à l'âge de dix-neuf ans. On suit le processus de sa remise à la cour française, à Marseilles, son mariage avec Louis XVI (et leurs problèmes maritals), sa vie au-dedans du palace et son éventuel -et tragic- final.

Bon, les fameux 'bio-pics' ne m'ont beaucoup interessé dans le passé. Cependant, il y a beaucoup de films suivant la formule classique du bio-pic qui m'ont beaucoup plu. 'Selena', 'Walk the line' et 'La mômê' son trois films qui s'agitent des vies de trois artistes ayant une grande influence dans le monde de la chanson. Mais Marie Antoinette, même si dans sa vie elle ait aimé faire des performances, n'est pas connue pour ses talents artistiques précisément. Elle est célèbre pour son insensé style de vie et sa pleine-de-luxes existence. Sa vie a été si intéressante qu'on pourrait dire que son histoire était destinée à être raconté pour le fait d'être tellement fascinante. En fait, ce film-ci n'est qu'un des plusieurs existant sûr cette polemique figure historique.

Donc, la première chose que je considère qu'il faut faire avant de voir ce film c'est réfléchir sur la raison pour laquelle on veut le voir. Si on en cherche un qui nous donne un rapport historique très précis et qui nous informe, d'une manière assez classique, des plus intimes détails de la vie de Marie Antoinette, en nous montrant expressément, par exemple, les effets que ses actions ont eu dans son pays, je peux dire avec toute confiance, qu'on doit continuer à chercher un peu plus. Pour qu'il ne reste aucun doute, si on veut une lesson d'historie, ce film n'est pas le plus appropié. Cependant, si on est capable d'accepter un film qui, en grande partie, ignore les aspects historiques et qui préfère nous montrer ce qui est le plus somptueux est extrême de la vie d'une des dames les plus controversées dans l'histoire du monde, bon, ben, ce film sera, j'en suis sûr, une agréable surprise. Laissez-vous être transportés à ce monde presque magique et plein d'excès. Je suis convaincu qu'au moins vos yeux ne le regretteront pas.



miércoles, 8 de septiembre de 2010

Ma Biographie Langagière


Comme la plupart des personnes qui sont nées au Pérou, j'ai appris l'espagnol comme langue maternelle. Je me rappelle que je n'ai pas eu aucune difficulté au moment de l'apprendre, sauf la calligraphie. Chaque année, j'avais des très bonnes notes, mais tous mes professeurs me disaient toujours qu'il fallait que je pratique ma calligraphie, qu'elle était un désastre. Ils me donnaient plusieurs livres de calligraphie pour que je l'améliore. Donc, j'ai beaucoup de ces livres chez moi (lesquels devaient être presentés au début de chaque année à l'école). En ce moment-là, je vraiment détestais remplir ces livres (surtout car il n'y avait que deux ou trois autres élèves qui devaient le faire), mais je suppose qu'ils m'ont aidés, au moins, à que mon écriture soit compréhensible. Chez moi, personne ne parlait que l'espagnol. Cependant, mes parents me disaient toujours que ma grandmère pouvait parler le Quechua, mais je crois qu'ils me disaient cela pour que je m'amuse. La verité c'est que parfois je l'entendais en disant quelques mots bizarres, mots comme "runtu" que je ne comprenais pas et que n'étaient pas en espagnol. Le mystère continue jusqu'à maintenant parce qu'elle ne l'a jamais nié. Je me souviens aussi que quand j'étais petit j'aimais écouter des contes. Ma mère restait dans ma chambre, parfois jusqu'à minuit, et me racontait des petites histoires. Je considère que j'ai appris d'elle l'importance de l'intonation et de la ponctuation (sans m'en rendre compte bien sûr). En général, mes experiences avec l'espagnol ont été toutes très positives. J'ai participé à des plusieurs concours dans ma vie scolaire, qui ont été d'une manière ou d'autre liés au langage, par exemple, concours d'ortographie, d'écriture de contes, d'art oratoire, de déclamation chorale, etc. Avec ce type d'activités, je me suis rendu compte que mes habiletés étaient reliés au langage.

À l'école où j'étudiais, l'anglais était enseigné de manière obligatoire comme langue étrangère. J'ai beaucoup de souvenirs par rapport à l'anglais. D'abord, je l'ai commencé à apprendre pratiquement au même temps que l'espagnol et j'aimais les professeurs que j'avais. Il y avait une institutrice en particulier qui me faisait rire beaucoup dans la classe. Elle était une femme blonde de quarante ans environ. Elle avait toujours beaucoup d'énergie au moment d'enseigner et la majorité des élèves, on répondait bien à son attitude et à sa manière d'enseigner. Ceci me fait réfléchir un peu maintenant sur le rôle et la responsabilité qu'un professeur a par rapport à ses étudiants et à leur apprentissage, surtout lorsqu'il s'agit d'enseigner à des enfants. En plus, ce qui me motivait à apprendre l'anglais c'était la musique. J'ai toujours aimé plus la musique en anglais que celle en espagnol. Mes chanteurs et chanteuses preferés chantent en anglais. Cependant, quand j'étais petit je ne comprenais pas ce dont ils chantaient puisque je ne savais pas tous les mots et il y avaient beaucoup trop de structures que je ne connaissais pas encore. Donc, la musique, m'a-t-elle aidé à améliorer mon niveau d'anglais? Tout à fait! C'est vrai que je ne savais ce que plusieurs phrases voulaient dire, mais comme je répétais les paroles et je chantais "avec" l'artiste ma pronunciation et intonation sont devenues beaucoup mieux. D'un autre côté, à l'âge de treize ans environ je suis devenu cinéphile et quelle coincidence: pratiquement tous les films que j'aimais venaient des États-Unis et étaient en anglais! Donc, avec les films et même les sitcoms que j'avais commencé à voir à la télé (lesquelles j'essayais de voir sans sous-titres) je me suis familiarisé avec l'anglais familier et j'ai appris beaucoup d'expressions qui, éventuellement, résultent très utiles. Quand j'ai terminé l'école, j'avais déjà un niveau avancé d'anglais et alors j'ai decidé de consolider tout ce que je savais déjà en étudiant à l'ICPNA. J'y ai étudié pendant une année et j'ai réussi tous les cycles avec des très bons résultats.

Après avoir fini l'école j'ai commencé à étudier à l'université. Un jour, j'en sortais et j'ai reçu d'une jeune femme une brochure d'un programme organisant d'échanges d'étudiants avec les États-Unis. Pour moi, il n'y avait rien à penser. J'avais voulu y aller dès que j'étais adolescent et je pensais que c'était l'opportunité parfaite. J'ai réussi à convaincre mes parents et donc, le mois de décembre de cette année-là, j'étais déjà aux États-Unis. Les quatre mois que j'y suis resté j'ai travaillé comme récepcionniste dans un hôtel. En travaillant là, j'ai beaucoup pratiqué l'anglais. Je me rappelle que chaque fois qu'une personne me disait que j'avais un très bon niveau, cela me donnait beaucoup de satisfaction. Ces quatre mois m'ont donné aussi envie de continuer à travailler. Donc, la première chose que j'ai fait quand je suis revenu au Pérou a été chercher du travail. J'ai postulé, parmi d'autres, à l'ICPNA. C'est amusant penser que j'y travaille maintenant parce que quand j'ai fini mes études ici, je ne pensais pas que j'y retournerai jamais, moins pour enseigner. Donc, travailler comme professeur m'a permis de connaître à fond la langue anglaise, car je la parlais, mais il y avaient quelques structures que j'utilisais mais dont je ne savais pas l'explication grammaticale.

Maintenant j'étudie le français. Pourquoi le français? Parce que j'en savais un peu. La dernière année à l'école, on pouvait choisir entre le français, la computation et l'art. Moi, j'ai choisi le français. Comme on n'avait que deux heures de français par semaine, j'ai appris des choses très élémentaires. Donc, en 2006, j'ai commencé à étudier à l'alliance française de la Molina et j'ai terminé le niveau élémentaire. Néanmoins, je n'ai pas pu continuer par des raisons variées. Cette année, le 2010, j'ai pris la décision de le reprendre. Je suppose que si j'avais passé l'examen de classement j'aurais pu commencer en élémentaire trois ou quatre, mais j'ai voulu faire tout le niveau encore car ça faisait quatre ans environ que je n'entendais ni disait aucun mot en français. Je suis en intermédiare plus maintenant et je suis content avec ce que je sais, mais j'ai aussi peur. Peur parce que je sais que j'aurai toujours un lien avec l'anglais (la musique, le cinéma, etc.) mais le français n'a pas une présence si forte dans ma vie. J'espère que je pourrai trouver quelque chose qui me permette d'être toujours lié au français.

En conclusion, j'aime les langues, et j'espère que j'aurai l'opportunité d'en apprendre beaucoup plus. Actuellement, ma vie est divisée en trois langues: le matin j'étudie le français, l'après-midi j'enseigne l'anglais et le reste de ma vie est en espagnol, et pour moi, c'est genial. :D

martes, 24 de agosto de 2010

Beaucoup trop d'affiches!


Sergio Lescano
Rue de la democratie
31020, La Castellana, Surco

Mairie de Surco
33107 Surco
Lima, le 25 août 2010

Monsieur le Maire,

Je vous écris cette lettre parce que je considère qu'il est nécessaire que vous sachiez ce que nous, les résidents de La Castella, Surco, sentons en relation aux affiches électorales sur des espaces non autorisés. Ce matin, j'ai convoqué une assemblé dans mon quartier dans le but de découvrir ce que mes voisins en pensaient. Donc, de toutes les personnes qu'y sont allées (126 au totale), toutes ont eu une opinion négative sur eux.

Je vous explique. On sait parfaitement qu'on se trouve sur le point d'avoir des élections municipales et que, par conséquent, les candidats doivent se faire de la publicité en utilisant des affiches. Cependant, on croit qu'il est vraiment inacceptable qu'ils fassent leur publicité politique sur des espaces interdits. En premier lieu, on accepte qu'il y ait quelques affiches, mais il y a des rues dans mon quartier qui sont complètement en remplies et cela nous ennuie. D'autre part, on croit qu'en lieu d'avoir une quantité d'affiches si abondante, il serait mieux qu'on reçoive plus d'information sur les propositions des candidats parce qu'en tout cas, on votera pour le candidat ayant les meilleures propositions pour le quartier, pas pour celui qui ait le meilleur affiche.

En vous remerciant par avance de l'attention que vous voudrez bien porter à cette lettre, on espère que vous ferez tout ce qu'il faille pour améliorer l'image de notre quartier en demandant aux candidats qu'ils respectent les espaces publiques.

Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l'expression de mes salutations distinguées.

Sergio Lescano

jueves, 19 de agosto de 2010

Short attempt of a news article

Comme nous avions promis, voici le point de notre premier flash info. Selon la police locale, la manifestation a commencé même avant le premier chant des oiseaux. Monique Loignon nous raconte: "Mais oui, j'étais dans mon lit toute tranquille, quand d'un moment à l'autre j'ai entendu un son bizarre et assez fort. J'ai attendu quelques secondes, mais comme il n'arrêtait pas, la curiosité m'a fait me lever pour découvrir d'où il venait. Alors, je me suis approchée de la fenêtre et j'ai vu des centaines de personnes qui marchaient en criant une phrase qu'au début je ne pouvais pas identifier, mais qu'après quelques minutes je ne pouvais pas la sortir de ma tête. Contre la reforme des retraites, ils répétaient à haute voix en marchant par les rues du quartier".

Tout a commencé à Toulouse vers sept heures du ce matin-là mais il n'y a pas s'arrêté. À onze heures du matin, la police continuait à reçevoir d'appels téléphoniques des gens demandant qu'elle fasse quelque chose pour mettre point final à ce lamentable spectacle. Cependant, malgré l'effort de la police pour controler cette situation, le nombre des gens protestant ne faisait qu'augmenter. Selon la police, 800 000 manifestants ont marché pour défendre leur cause (qu'il n'y ait aucune reforme des retraites). La veille, le porte-parole du syndicat avait declaré à la presse que, si le gouvernement décidait de continuer le projet sur les retraites, ils organiseraient une manifestation d'une magnitude si grande, que le porte-parole du gouvernement n'aurait pas d'autre choix. Il se verrait obligé à en parler aux membres du congrès, qui finalement devront admettre qu'ils ont perdu et arrêter la reforme immédiatement.

Donc, par le moment, notre journal restera sans une position précise sur ce thème. Néanmoins, il faut qu'on souligne que, bien qu'on n'en ait pas une, on ne soutient pas les manifestations violentes. C'est vrai que toutes les personnes ont le droit à se manifester, mais il ne faut pas oublier qu'il y en a plusieures ne voulant être impliquées dans ce chaos.

martes, 17 de agosto de 2010

Quand la routine gagne

S'il y a quelque chose dont je suis sûr c'est que ce couple est loin d'être un couple parfait. Mais est-ce qu'il existe des couples parfaits? De plus, est-ce que la perfection est vraiment désirable dans la vie à deux, ou est-elle synonyme d'ennui? Je ne crois pas que je puisse y donner reponse à ces questions, mais je profiterai de l'image pour réfléchir un peu.

Donc, dans cette image on peut voir deux personnes (le mari et la femme) très proches l'un de l'autre (si on ne parle que de la distance physique uniquement), mais très eloignés emotionellement. Le couple qu'on voit ne s'entend ni se comprend. Leur visage montre même que la confiance a complétement disparu et leur langage corporel indique qu'ils ne sont plus satisfaits avec leur vie. Il faut dire bien sûr que bien que leur relation soit mauvaise maintenant, cela ne signifie pas qu'ils ont toujours eu une mauvais relation. Alors, qu'est-ce qui s'est arrivé avec ce couple pour qu'ils ne se supportent plus? Ça fait combien de temps qu'ils vivent comme cela, eloignés totalemente?

D'abord, il faut que je répète encore une fois que je ne crois pas avoir la reponse correcte. Ce qui s'est arrivé avec eux, seulement ils le savent, mais je peux essayer de faire une supposition. J'imagine que, comme plusieurs couples, ils ont perdu la bataille contre la routine. Quand ils se sont mariés, ils avaient, je suppose, beaucoup de rêves. Malhereusement, selon l'image qu'on voit d'eux, il est clair qu'ils se sont rendus compte que leurs rêves ne sont que cela: des rêves qui probablement ne deviendront jamais une realité.

lunes, 2 de agosto de 2010

Lost In Translation de Sofía Coppola: Il faut le voir!

Intro

La semaine dernière j'ai terminé le niveau intermédiaire à l'alliance française. Tous les mois, les derniers jours de classe, les elèves, nous sommes demandés de faire un projet. Ce mois-là, on a fait une émission de radio. On devait inventer une station de radio et on devait choisir un thème intéressant pour le discuter. Moi, j'ai choisi le cinéma. Ceux qui me conaissent savent que s'il y a quelque chose dont je ne m'ennuie pas de parler c'est justement le cinéma. Alors, l'émission que j'ai créé s'appelait "La magie sur l'écran", et la séquence initiale "Ce qu'il faut voir, ce qu'il faut éviter". C'est clair, hein? Dans cette séquence je parlais sur des films que j'avais vus et je les classifiais dans deux catégories: ceux qu'il fallait voir et ceux qu'il fallait éviter. Donc, pour m'amuser un peu, je continuerai cette séquence mais d'une manière écrite.

Pour ceux qui conaissent un peu de cinéma, le nom 'Coppola' est un nom qui, sans doute, les fait penser à Francis Ford Coppola, un directeur americain qui se trouve parmi les plus célèbres des États-Unis. Ce film dont je vais écrire un peu a été réalisé par sa fille, Sofía.

Sofía Coppola n'avait réalisé qu'un autre film quand "Lost in Translation" est arrivé aux écrans. Son premier film "The Virgin Suicides" avait montré qu'elle avait son propre style et qu'elle était une femme avec beaucoup de talent. TVS est un film plein de mélancolie et sensualité qui racontait l'histoire des suicides des filles d'une famille americaine très conservatrice. Avec ce film, Sofía a réussi à causer un fort impact dans le monde du cinéma. Cependant, il n'a pas eu succés économique. Mais après l'avoir vu, je pense qu'il est clair que Sofía ne fait pas de films pour gagner beaucoup d'argent ou pour devenir une célébrité (hereusement) mais parce qu'elle aime vraiment le cinéma.

Alors, tout le monde attendait avec impatience son deuxième film, et hereusement, ce film, il est même meilleur que son premier, selon la presse spécialisée. LIT est une histoire qui paraît simple mais qui a beaucoup de couches quand on l'analyse bien. Deux personnes, qui ne se conaissent pas se recontrent à Tokyo et peu à peu, commencent à former une relation plus forte chaque jour. Les deux personnes sont Bob et Charlotte. Il est un acteur de Hollywood qui a voyagé à Tokyo pour filmer une publicité de whisky. Il a cinquante ans environ, il est marié et a deux enfants. Son mariage est devenu une routine et il n'est plus content avec sa vie. Elle est une belle femme americaine de vingt cinq ans. Elle n'a pas aucune idée de ce qu'elle veut faire avec sa vie. Elle a voyagé à Tokyo car son mari devait y aller pour un contrat de travail. Ces deux personnages auront beaucoup d'experiences ensemble et decouvriront qu'ils ne sont pas si seuls comme ils pensaient.

La vie n'est pas seulement un drama ou une comedie et alors, ce film essaye de montrer justement cela. Il y a quelques moments comiques, mais il y a certains moments dramatiques aussi. La ville de Tokyo est le lieu parfait pour ces deux personnes, qui se trouvent et se sentent très seules, de redevenir eux-mêmes, et c'est ce lieu aussi qui leur donnera l'opportunité d'analyser leurs vies et de repondre s'ils sont vraiment contents avec elles ou non.

Une histoire interessante, un soundtrack très évocateur et des interprétations touchantes sont trois de beaucoup de choses que ce film offre. Moi, je dis, il faut le voir!

jueves, 22 de julio de 2010

Sloth, il faut l'éviter!


Je sais que peut-etre tu ne croyeras ce que je te raconterai dans cette lettre, mais même si tu ne me croies pas, je te le dirai.

Hier, comme toujours, je ne voulais pas travailler. J'étais fatigué car j'avais étudié tout le matin chez un ami. Il était deux heures trente et je ne m'étais pas encore habillé, et tu sais que je commence à travailler à trois heures quinze. Donc, j'ai eu une idée: j'appellerais mon patron pour lui dire que j'avais mal à la gorge et que, par conséquent, je ne pourrais pas aller au travail aujourd'hui. Alors, j'ai parlé avec lui. Au début, j'ai pensé qu'il saurait immédiatement que je mentais, mais il a tout cru!

Le soir, j'ai invité tous mes amis chez moi pour faire la fête. À huit heures environ, j'ai reçu un coup de fils chez moi. J'ai repondu mais je ne pouvais pas écouter bien à cause de la musique et le bruit en général. Alors, j'ai crié: Allô! Je ne peux pas vous écouter mais la fête est chez moi!

Le lendemain, je suis allé au travail et j'ai rencontré mon patron. Il m'a regardé serieusement et il m'a dit que j'avais perdu mon travail. Je lui ai demandé pourquoi, et il m'a dit: "Parce que c'est moi qui t'a telephoné hier à huit heures".

La moral de cette courte histoire? Je pense que nous ne devons pas nous laisser gagner par la paresse. Il est clair que tout le monde a des jours où ils ne veulent rien faire, mais on doit arrêter un instant et penser. Dans le pays où nous vivons, le chômage est un problème très grave. Les personnes adultes ont plusieurs difficultés pour trouver un bon emploi chaque jour. En plus, il y a des entreprises qui refusent donner des emplois aux personnes agées. Alors, la prochaine fois que vous n'aviez pas envie de travailler, pensez aux ceux qui passent tous les jours en cherchant du travail, sans rien trouver. Alors, il est évident qu'on ne doit pas nous plaindre de notre travail, mais qu'il faut remercier parce qu'on en a un.

miércoles, 7 de julio de 2010

Sergio, le renard

Si j'étais un animal je serais un renard.
Je ne serais pas un animal domestique parce que je préfère la liberté. J'ai choisi le renard car je pense qu'il est un animal très curieux et intelligent. Pour survivre, cet animal peut mentir aux autres animaux et peut profiter d'eux, mais il protège sa prope famille aussi. Les renards sont rapides mais pas très forts. Ils sont astucieux mais pas très éthiques. Donc, je crois qu'ils ressemblent aux êtres humaines puisqu'ils ont un sens de la moralité mais ils comettent des mauvaises actions aussi.

Stress-free / Stress-full

Cher Nico,

Je t'écris car j'ai reçu ta lettre où tu me racontais que tu avais beaucoup de choses à faire et que, par conséquent, tu étais un peu stressé. Je dois te dire qu'en ce moment-là, je n'étais pas préocupé parce que tout le monde à des choses a faire et, donc, il faut qu'on apprenne à survivre avec tout cela. Cependant, la semaine dernière j'ai rencontré ta soeur dans un café et on y a parlé de toi et, alors, je n'ai pas aimé ce que j'ai écouté. D'abord, elle m'a dit que tu n'étais pas "stressé" mais malade. Elle m'a raconté aussi que tu ne voulais rien manger et que tu revenais chez toi après minuit presque tous les jours. Alors, je vais te donner des conseils que tu dois suivre, sinon tu iras de pire en pire.

1. Il faut que tu dormes au moins sept heures par jour pour laisser ton cerveau recuperer ses energies.

2. Le travail termine au moment que tu sors du bureau. Ne l'apporte pas chez toi.

3. Le week-end existe pour t'amuser. Tu aimes les films, donc, va au cinema. Moi, je suis libre le week-end prochain, appelle-moi, on peut y aller. J'ai envie de voir un bon film.

4. Tu n'es pas un "super homme". Toutes les personnes ont un limite. Fais tout ce que tu peux, mais pas plus.

5. Je sais que tu n'as pas voyagé depuis longtemps. Alors, voyage! Cette ville où nous vivons peut rendre fou à n'importe qui. Je pense qu'il te manque un changement d'environnement.

Bon, c'est tout mon ami. Pour t'en sortir, tu dois suivre mes conseils. Accepte l'aide des personnes qui t'aiment et qui se préoccupent pour toi et n'oublie jamais que tu auras toujours mon amitié.

Amitiés!

sábado, 12 de junio de 2010

Lettre à la mairie de mon quartier

Monsieur,

Je vous écris parce que je suis vraiment fatigué de la situation actuelle de notre quartier. Moi, je suis un éco-citoyen convaincu et je fais tout ce que je peux pour améliorer l'environnement. Il faut que vous sachiez que, comme moi, il y a des personnes qui veulent protéger l'environnement, mais il y a aussi des personnes qui n'ont pas assez d'intelligence pour le faire.

Je vous explique. Moi, j'ai deux enfants, de quatre et cinq ans. Je leur dis toujours qu'il faut mettre les differentes types de déchets dans des differentes sacs. Je leur dis que s'ils font cela, ils sont en train de préserver le monde. Alors, hier, je jettais les déchets comme tous les soirs dans des differents sacs, mais quand le camion les a ramassés, tous les déchets (les plastiques, les papiers, etc.) ont été jetté ensemble. Mes enfants ont vu tout cela et ils m'ont dit que, alors, tout notre effort c'était pour rien. Je n'ai pas su comment leur repondre.

Donc, maintenant vous savez la problématique. Il y a une contradiction. Tous les voisins, nous continuerons à prendre des strategies pour avoir une meilleure vie, mais si les employés de la mairie ne font pas la même chose, le quartier ira de pire en pire. Je suis complètement sûr que vous serez capable de trouver une bonne solution à ce problème. Je vous en prie de croire, monsieur, à l'expression de mes sentiments les meilleurs.

Sergio.

martes, 8 de junio de 2010

L'autre bout du monde

Emily et Joseph vivaient hereusement dans une petite maison à la campagne française. Il sortait à son travail très tôt le matin et comme il ne voulait pas lever sa femme il s'habillait silencieusement et pour prendre congé il l'embrassait délicatement. Elle se reveillait vers neuf heures du matin et elle faissait les ménagers. Quand il retournait chez eux, elle lui attendait patientement avec un sourire. Ils étaient convencus qu'ils avaient la vie parfaite, celle qu'ils avaient rêvé.

Un jour, quelqu'un a frappé la porte. C'était un officiel bien habillé qui leur a communiqué que le pays avait besoin de soldats et qu'il fallait que tous les hommes participaient. Donc, une semaine après, Joseph était sur le point de monter dans un bateau qui lui apporterait à l'autre bout du monde.

Les années sont passés lentement et Emily devenait plus triste chaque fois qu'elle ne recevait rien d'information sur Joseph. Elle allait toutes les après-midis au bord de la mer et regardait l'océan avec l'espérance qu'un bauteau arrive, mais cela ne s'est jamais arrivé.
Un jour, Emily a reçu une lettre fatale qui l'informé de la mort de Joseph en guerre. Elle a pleuré inconsolablement et depuis ce jour-là elle ne pense qu'au son passé avec lui.

lunes, 7 de junio de 2010

Critique d'un film

Harry Potter est probablement le magicien le plus connu du monde entier. Écrits par J.K.Rowling, les sept livres qui forment la saga ont été lu par millions de personnes. Ce magicien était devenu un phenomène de la literature au niveau mondiel, et quand l'auteur a annoncé qu'elle avait decidé de donner les droits de l'histoire a 'Warner Brothers' tout le monde est devenu fou.
Harry Potter est un garçon orphelin qui habite avec ses abominables oncles, les Dursleys, et son cousin Dudley. Il est vraiment miserable chez lui parce que sa famille ne l'aime pas. Il doit même vivre dans un placard. Harry a dix ans quand il commence à decouvrir qu'il n'est pas comme les autres garçons de son âge. Un jour, Hagrid, le gardin de l'école de magie et sorcellerie "Hogwarts", vient lui rendre visite pour lui annoncer qu'il a été choisi pour étudier dans cette école. Harry ne peut pas le croire mais il accepte l'invitation. Là-bas, il decouvre les mystères de son passé et l'existence d'un magicien ténébreux qu'il doit battre.
Ce flm nous introduit au monde de Harry d'une manière très fidèle aux livres. Comme c'est le premièr film, il est un peu infantile, mais cela ne nous importe beaucoup parce qu'il a beaucoup de qualités. Tous les acteurs adultes sont vraiment magnifiques dans leurs roles. Alan Rickman est vraiment terrifiant et drôle au même temps comme le professeur Snape et Maggie Smith vraiment devient Minerva McGonagall. Le scenario est fantastique et les effets speciaux sont bien realisés. Il faut mentionner que cette histoire (ou ce film) n'est pas seulement pour les enfants. Au contraire, cette historie devient plus compliquée et obscure dans les prochains livres/films. Bref, c'est un film mémorable dont tout le monde est amoureux.

viernes, 4 de junio de 2010

Êtes-vous d'accord que le livrel fera disparaître le livre en papier?

Quand nous sommes petits, la première chose qu'on apprends (ou une des premierès choses) c'est lire. L'habilité de comprendre des textes écrits peut determiner notre participation dans la culture humaine. Depuis toujours, l'homme a voulu s'exprimer au moyen de l'écriture. C'est pour cela que c'était une coutume pour les rois, les scientifiques et les illustrés en général, de transmettre leur conaissance à base d'encre. Mais il y a dix ans environ, tout a changé. Actuellement, on peut trouver et lire des livres pas sur papier mais sur un écran. Ce changement a completement boulversé le monde de la lecture. Mais est-ce que cela est vraiment une amélioration?

D'abord, les livres électroniques ont certains avantages. Ils sont plus accessibles: ils ne sont pas chers et on peut les trouver facilement. En plus, si on a un ordinateur ou un autre appareil, on y peut les emaganiser. Cela veut dire qu'on peut apporter pas seulement un, mais beaucoup de livres. Il y a des inconvenients aussi. Quand on regarde l'écran pendant beaucoup de temps, cela peut endamager nos yeux. Au même temps, cette "manière" de lire consomme beaucoup plus d'energie électrique que les livres traditionnels.

Les livres en papier ont et auront toujours un lieu très important dans nos vies. Quand on était petit, nos mères nous lisaient des histoires avant l'heure de dormir, et on pouvait regarder les dessinés. C'est vraiment impossible d'imaginer tout cela avec un froid texte sur un écran. Finalement, l'experience de lire un livre en papier ne peut pas être comparée avec celle de lire un sur l'internet. Le plaisir de toucher les feuilles et sentir le charme des mots est vraiment unique.

Bref, on peut concluire que même s'il est possible de lire sur un écran, les livres comme nous les conaissons ne disparaîtront jamais, puisqu'ils forment une partie fondamentale de notre histoire.

jueves, 27 de mayo de 2010

Teaching Philosophy 2010

After more than a year and a half working here (ICPNA), I think I have collected enough information and data as to have some kind of teaching philosophy. When I first started, my knowledge of teaching was quite limited. However, I learned. Every month that I've worked here has brought its own set of challenges. I faced those challenges head on and they became learning experiences. Every feedback I've had has helped me understand in detail the methodology of teaching that is expected here. The teachers I've observed have been of tremendous help as well, discussing with me what best works for them and sharing their valuable experiences. Furthermore, the two ELT courses online I've taken have made me more confident in my own abilities and especially in my own knowledge of English language teaching. In the following lines I shall describe three aspects that define my teaching philosophy.

1. Each student is unique. The first and maybe the most important thing I've learned in all the months I've worked here is that every class is different. Even if the course is the same, the people always change. Every student has specific goals, expectations and attitudes towards learning English, and as a teacher, I believe it is of great importance to analyze each student's needs to the best of our abilites. If we as teachers take the time to really understand our students' motivations, then we'll be able to tailor our instruction to get the best out of them.

2. Student-centered classes. I've been through my share of teacher-centered classes in the past, at school or in the university, and to some extent I understood why that approach was used. However, when it comes to language teaching, I believe that a student-centered is the best (and only) option. It's really a no-brainer in my book. A class where the teacher is the focus is old fashioned (and that trend is not making a comeback anytime soon!). We as teachers are there precisely to make our students the focus of each class. We have to take advantage of every opportunity possible to have our students interact with each other. We are there to provide them with the tools to do so. After that, it's all them.

3. It's all about attitude. One of the hardest thing, at least in my case, is to leave whatever worries, problems or issues we may have outside the classroom. I think this is of vital importance because in the end, a teacher has to be motivating. That's why I believe that a teacher's attitude is so important. I mentioned earlier that students have certain attitudes towards learning that we need to understand. Well, what about us teachers? We're the example. We need to have a great attitude towards teaching no matter what, because whatever attitude we bring into class, our students will pick up on it. If we enter our classrooms defeated and bored, our students will reciprocate by barely speaking and yawning. If, on the other hand, our energy level is up and we show dynamism, that's what our students will try to mimic too!

To sum up, I think a teacher should always strive to be inspiring, helpful and memorable. If a student finishes the course and realizes how much he's learned, then our job was succesfully done.

viernes, 21 de mayo de 2010

Accident de voiture

Tu ne croiras jamais ce qui m'est arrivé hier. Tu te souviens que, après le film qu'on avait vu chez toi, j'étais un peu fatigué et je voulais me coucher? Bon, je crois qu'il était presque minuit. Comme j'ai déjà dit, j'étais vraiment fatigué parce que j'avais travaillé tout le soir et bon, mes yeux se fermaient. Je ne voulais pas conduire puisque quand je conduis je dois être concentré, et en ce moment-là, j'étais si fatigué que je ne pouvais pas ouvrir mes yeux completement. Je voulais laisser ma voiture chez toi comme d'habitude et retourner chez moi en bus, mais il était déjà trop tard, donc, je devais conduire.

Je conduisais par les rues. Heureusement il y avait presque personne. Pour me distraire un peu et pour ne pas m'endormir, j'ai decidé d'écouter un peu de musique. J'ai allumé la radio et j'ai cherché une bonne chanson. Je cherchait une chanson quand soudain j'ai vu quelque chose mystérieuse quelques mètres devant ma voiture. Cette chose ne se bougeait pas et j'étais de plus en plus près d'elle. En fait, j'étais trop près d'elle quand je me suis rendu compte de que cette "chose" n'était pas une chose, sinon un chien. En ce moment-là, j'ai eu peur. Je ne voulais pas le renverser mais je ne savais pas s'il était trop tard pour essayer de tourner à droite ou à gauche sans perdre le contrôle de la voiture. Je savais que je n'avais pas beaucoup de temps pour penser et je savais aussi que si je ne faisais pas quelque chose le chien mourrait. Alors, j'ai tourné a droite rapidement, mais comme tu imagineras, j'ai perdu le contrôle de la voiture et j'ai renversé un arbre.

Je ne veux pas t'alarmer parce que je vais bien. Je suis à l'hôpital "Le bois" et je dois y rester aujourd'hui, mais mon médecin m'a dit que demain je pourrai retourner chez moi. Alors, je veux terminer de tout te raconter.

Je ne me rappelle pas tout ce qui s'est passé après avoir renversé, mais je me souviens que j'étais endolori. Je me souviens aussi que je me suis vu dans le miroir de la voiture et j'ai eu peur de moi-même parce que mon visage était couvert de sang. J'ai essayé de me nettoyer un peu et j'ai pu voir aussi, dans le miroir, le chien. Il était un peu effrayé et il a commencé à aboyer. Je voulais me bouger mais je ne pouvais pas le faire. Quelques minutes -ou heures, je ne sais pas- après, j'ai entendu le son d'une ambulence, et bon, le reste tu le sais déjà.

Comme j'ai dit, ne t'inquiète pas parce que tout va bien, je t'appelarai quand j'arrive chez moi.

À bientôt,

S.

viernes, 14 de mayo de 2010

Sergio sous la neige



Je viens d'arriver aux États-Unis et la neige tombe dèjá. Tu sais que j'ai voulu voir la neige dès le moment que j'ai vu Winona Ryder danser sous la neige dans le film "Edward Scissorhands" de Tim Burton, et bon, maintenat je suis sur le point de faire justement ça.

À l'aéroport, après t'avoir embrassé, je ne voulais pas continuer avec mon voyage parce que je savais que le Pérou me manquerait. Mais je savais aussi que voyager c'est quelque chose que j'aime faire, donc, une opportunité comme cela, je ne pouvais pas la laisser passer. Ne t'inquiète pas parce que je vais bien, mais mon dieu, arriver ici n'a pas été facile.

D'abord, tu sais que j'aime voyager en avion, mais une heure avant d'arriver le pilote a parlé par le haut-parleur et il nous a demandé de nous asseoir. Quelques minutes après, il y a eu une turbulence très forte. En ce moment j'ai eu peur parce que l'avion n'arrêtait pas de se secouer. Heuresement, quelques moments avant de devenir complètement fou, il s'est établi. Je suis descendu de l'avion et j'ai vu ma montre. Il était onze heures de soir et je devais attendre jusqçu'au matin pour prendre le bus, donc, j'ai dû dormir à l'aéroport! Comme tu imagineras, je n'ai pas pu bien dormir. Au contraire, cette nuit là a été vraiment la pire de ma vie. J'étais seul et il faisait froid, mais bon, ça y est, je ne veux pas me rappeller de cette nuit.

Le lendemain je me suis levé très tôt, j'ai pris mon petit déjeuner à Burger King et j'ai attendu le bus. Quand il est arrivé j'ai été la première personne qui est montée. Ce bus m'a apporté de Denver à Glenwood Springs. Quand j'y suis arrivé, j'ai cherché mes valises dans le bus et en ce moment-là je me suis rendu compte que je les avais laissé dans un autre bus. J'étais désesperé mais j'ai pensé un peu et j'ai décidé d'aller à l'hôtel oû je travaillerais. Là-bas, j'ai appellé l'entreprise de bus et ils m'ont dit que je devais attendre un jour pour mes valises. Le jour suivant ils me les ont apportées.

Bon, je t'écrirai la semaine prochaine pour te raconter tout ce que je fais ici,

Grosses bises,

S.

martes, 11 de mayo de 2010

Sergio, l'imparfait


Après mon cours de français, dans le bus, je parlait avec un ami que j'avais connu à l'Alliace Française. Il me racontait sa experience à Londres. Quand il était plus jeune, il étudiait l'anglais à Británico et il avait des bons notes. C'est pour ça qu'il a gagné un prix très genial: un voyage à Londres, tout payé. Il y est allé seul et il est resté avec une famille. Il a été là-bas seulement un mois, mais dans ce mois, il a pu bien s'amuser. Il m'a dit qu'avant de voyager, il a reçu assez d'argent pour bien vivre pendant un mois, mais comme il voulait acheter un ipod, il a economisé. Bon, il a eu de la chance parce que pas tout le monde peut aller en Europe sans rien payer. Je voudrais y vogayer, mais probablement, je devrai le payer, mais ça va.

En général, je n'ai pas voyagé beaucoup dans ma vie, mais oui, j'ai connu quelques lieux interesants. Quand j'avais 13 ans, je faisais du taekwon-do. Un jour mon entraîneur nous a dit que toutes les années il y avait un championnat en Argentine, et que ceux qu'il pensait étaient preparés pouvaient participer. Il m'a mentionné, mais en ce moment-là je ne croyais pas que je voyagerais, je ne sais pas pourquoi mais je ne le croyais pas. Je ne savais pas si mes parents me laisseraients voyager seul. Heuresement, ils ont accepté, en fait, mon père a decidé de voyager avec moi. Je crois qu'il a decidé ça parce qu'il ne passait beaucoup de temps avec moi et bon, un voyage ensemble nous permettrait de nous connaître plus. Je voudrais me rapeller de tout ce que j'ai fait en Argentine, mais je ne le souviens pas tout. Ce que je me souviens c'est que, le jour de la compétition, mon père m'a aidé beaucoup, et que, bon, nous sommes passés des bons moments. Ce voyage sera toujours quelque chose seulement entre les deux, et je sais que nous ne l'oublierons jamais.

Comme j'ai dit, je voudrais voyager beaucoup. Si j'ai de la chance je trouverai un emploi qui me demande de voyager fréquemment, sinon, j'aimerais tellement voyager quand je suis en vacances. Je veux faire ça parce que je crois qu'il y a beaucoup de lieux pour connaître, et qu'il faut, bien sûr, les connaître tous.

lunes, 10 de mayo de 2010

Sergio, le fils



Le deuxième dimanche de mai c'est un jour très spécial parce qu'on célébre le "jour de la mère". Cette année, ma soeur et moi, nous avons preparé quelque chose pour notre mère. Le samedi soir, je suis allé au supermaché et j'y ai acheté une carte de voeux. Nous avons decidé aussi d'écrire à maman une petite lettre. Le dimanche matin, ma maman s'est levée vers huit heures (mon père, ma soeur et moi, on continuait à dormir). Quand nous nous sommes levés, nous l'avons embracé, et après, nous l'avons donné tout ce que nous avions preparé. Elle nous a dit qu'elle aimait la lettre et que, bon, elle était très contente. Naturellement, elle ne voulait pas cuisiner et donc, nous sommes allés au restaurant. Nous y avons bien mangé.

Au restaurant, ma maman m'a dit quelque chose qui m'a fait réfléchir. Je le savais déjà, mais elle ne l'avait pas mentionné depuis beaucoup de temps. Quand elle avait 21 ans (comme moi maintenant) sa maman, ma grandmère, est morte. C'est pour ça que je sais que ma maman est très forte, parce qu'elle a pu, après beaucoup de temps bien sûr, continuer à vivre. Je ne sais pas ce que je ferais sans ma maman (oui, je sais que tout le monde dit la même chose, mais ça ne veut pas dire que ce n'est pas vrai). Elle est vraiment la meilleure femme que je connais et je donnerias tout pour elle.

Nous revenions chez nous. Mon père conduisait la voiture. Ma mère parlait avec lui quand en ce moment ella a vu un parc tres joli qu'elle ne voyait pas depuis longtemps. Le parc Olivar. Elle nous a dit: Allons au parc un moment pour marcher un peu. Donc, les quatre, nous avons marché sur le parc et nous avons pris des photos. Apres ça, nous sommes revenus chez nous.

viernes, 7 de mayo de 2010

Sergio, el cinéfilo


En uno de los ejercicios del libro de intermedio 9, los alumnos debían pretender que eran críticos de cine y elegir la película más romántica, la más emocionante, la más aterradora, la más graciosa y bueno, también debían crear una categoría ellos mismos. Cuando se trata de películas, no creo saberlo todo, pero sí creo saber alguito. Y es que desde que tengo memoria, el cine me ha interesado mucho. Todo lo relacionado a él me resulta fascinante. Desde el proceso de concebir una historia que valga la pena contar, a escribir el guión, a encontrar un director que entienda la visión que se tiene para la película, a elegir la música, etc. Todo, como ya he dicho, me parece realmente increíble. Creo que uno de mis sueños más grandes sería trabajar en algo relacionado a cine. Claro, no me entiendan mal, no quiero trabajar como cajero en cineplanet (sin desmerecer este oficio por supuesto). A lo que me refiero es que quiero trabajar en cine. No sé si dirigiendo, actuando, escribiendo o editando, pero en algo relacionado al llamado séptimo arte.

Simplemente por diversión, mientras mis alumnos discutían sobre películas, yo pensaba en mi mente cuáles serían mis elecciones. Que quede claro que mis elecciones pueden cambiar en el futuro, pero por ahora, éstas son las películas que yo elegiría. No he considerado ni la más graciosa ni la más aterradoa por falta de tiempo. Quizá en otra oportunidad.

Como la más romántica la ganadora absoluta, en mi opinión por supuesto, es Titanic. Recuerdo que yo tenía sólo 8 años cuando vi esta fabulosa película por primera vez. Un buen amigo la tenía en video (porque en ese tiempo no éxistían aún los DVD) y lo trajo a mi casa. Decidimos ver la película, no recuerdo bien porqué ya que yo no sabía nada sobre ella. Como era bastante larga, la película estaba dividida en 2 cassettes. La primera parte de la película narraba la historia de amor entre Jack y Rose a borde del barco llamado Titanic, y la segunda nos mostraba cómo su amor tenía que sobrevivir al hundimiento de dicho barco. Creo que nunca he llorado tanto como lo hice con esta película a mis 8 años de edad. El impacto que tuvo esta película en mí fue realmente inaudito. Creo que desde ese momento realmente empecé a amar el cine, por las reacciones y las emociones que logró sacar de mí.

Como la película más emocionante creo que tengo que concordar con mis alumnos. Y es que Avatar no es la película más taquillera de la historia del cine por nada. Es un tremendo peliculón. Personalmente, vi Avatar unas 5 veces en cine. Y cada vez que la veía se ponía mejor. La última vez que la vi lo hice solo y fue la vez que la disfruté más. Y es que personalmente, disfruto mucho viendo películas solo. El cine es una experiencia igualmente rica en grupo o en solitario, y quizás para mí más en solitario que en grupo. Como decía, fui solo, lloré como la primera vez que la vi, y simplemente salí maravillado una vez más de la sala. Avatar es visualmente alucinante y la historia, aunque para algunos simple y cliché, es contada de forma ágil, y finalmente las actuaciones, especialmente la de Zoe Saldana (quien interpreta a la guerrera Neytiri) son fenomenales.

Me parece gracioso que las 2 películas sobre las que he escrito hayan sido dirigidas por el mismo director, James Cameron. Bueno, perdón a los que les gustó que Kathryn Bigelow (ex esposa de James) se llevara el Óscar a mejor director en vez del propio James por Avatar, pero su peliculilla de guerra, Zona de miedo, no le llega ni a los talones a Avatar. Lo que Avatar deja al cine es un legado invaluable. James, espero ansioso tu siguiente proyecto, cualquiera que sea.

jueves, 6 de mayo de 2010

Sergio, el impuntual

It's hardly a secret that I have, let's say, a little problem with punctuality. Yes, that's one way to say it. Another way -and a more exact one at that- would be that I can't be on time to save my life. This little "issue" has haunted me ever since I was in highschool, which was about 6 years ago, when I was only 14 years old. I'm 21 now and today I was late for both my french classes and my job. This may sound funny and even silly to some, but trust me, it's neither.

I'm constantly arriving late to places. I hate writing this sentence because as I see it written on the screen I realize how true it is. Today was yet again another example of my lack of, well, punctuality. See, my french classes start at 9 o'clock. I'm usually there around 9:30 or 9:20 at best. Why? Don't really know. My alarm clock goes off at around seven in the morning. Something quite pointless I might add because I simply get up (while still having my eyes closed) walk in my sleep and turn it off. Don't ask me how I do it, but I manage to sleep-walk all the way to my closet to turn it off. I wake up (this time for real) at about 8:15. If I were more responsible I'd skip breakfast, take a quick shower and leave. But no, I like breakfast too much. I eat and then take a shower. I'm usually ready to go at around 8:55. Little reminder: my classes start at 9:00. So of course I take a taxi, and since traffic is simply unbearable these days, I arrive at the Alianza Francesa some minutes before 9:30.

I seem to be utterly incapable of being on time. When I was in the United States, I worked as a receptionist in a hotel. My schedule from monday to friday was from 7 in the morning to 3 in the afternoon. Needless to say I never made it at 7 o'clock. Oh, and I forgot to mention that I lived in the same hotel I worked at. That's right. It took me less than 2 minutes to get to my workplace because, well, I lived in it. But I still couldn't be on time. Whoever was in charge at the front desk at that time had to call my room numerous times to, well, tell me to wake the hell up. It was quite embarassing really. I'd receive phone calls at 7:20 from whoever worked the previous shift. This person was usually mortified, and understandably so.

Even worse than that was what happened to me when I was studying in the university. For lack of a more, let's say, convenient schedule, I was practically forced to register at a 7am course. I studied in the University of Lima and as everyone knows, it doesn't come cheap to study there. I knew all of that and I was determined to make it on time. I couldn't. I simply couldn't, and as a result, I ended up failing the course. Ridiculous, isn't it? To fail a course not because you don't have the grades to pass, but simply because you didn't attend for over half the cycle.

At my job, well, let me put it this way. Everyone, I repeat, every single one of the supervisors and the people from the administration office have called me up on my tardiness. There has been some improvement, but I somehow always end up being late again. Despite what people may think I take my job seriously and the fact that I get to my classes late does affect my reputation as a teacher, and that's what I hate the most.

I don't know. As I'm wrapping this up, I'm more than convinced that I have a serious problem and that If I don't fix it, there will be serious repercussions. There already have been. All I know is that right now I'm losing the race against time. But what I know as well is that it is never too late to change and that the human mind is incredibly powerful. If I set my mind and my heart to it, I'm sure I could do it. I have to do it, for my own sake.

miércoles, 5 de mayo de 2010

Cuisinier, jardinier ou prof? (Intermédiaire 1-2)

Je ne me vois pas comme cuisinier ou comme jardinier. Mais bon, je ne me voyais pas comme professeur et c'est ça ce que je fait maintenant, donc, je crois que tout est possible dans la vie. En cette oportunité, j'écrirai sur mon travail.

J'ai commencé a travailler a l'ICPNA en 2008. L'été dernière j'avais voyagé aux Etats-Unis, là-bas, j'ai travaillé comme réceptionniste dans un hotel qui s'appelle "Ramada". J'y ai travaillé pendant quatre mois. J'aimais y travailler. J'aimais recevoir les gens et parler avec eux. Ils me disaient toujours que je parlais bien l'anglais et bon j'aimais l'écouter. J'adorais aussi répondre au telephone et faire des reservations. Une fois, je me souviens, j'ai perdu une enveloppe avec cinq cent dollars (500$). Je le cherchait partout et j'étais très nerveux parce que si je ne le trouvais pas, je devais payer les cinq cent dollars! Heuresement je l'ai trouvée. Bon, j'ai raconté tout cela pour expliquer pourquoi j'ai decidé de commencer a travailler à l'ICPNA.

Toute ma vie j'ai voulu être independent, et avec l'argent que je gagnais, j'ai pu acheter tout ce que je voulais (beaucoup de vêtements! xD). Donc, quand je suis revenu au Perou je me suis dit: "il faut trouver un emploi". C'est pour cela que j'ai commencé à travailler comme professeur. Rien n'est simple au début et comme toutes les personnes qui commencent un nouveau emploi j'avais peur. Mais peu à peu j'ai découvert que avec un peu d'effort et de patience, on peut faire tout ce qu'on veut. Maintenant, je suis un meilleur prof qu'avant et j'en suis heureux!