L'officier, sans perdre de temps, lui a demandé où il allait. Le loup ne comprenait pas pourquoi il lui demandait cela. Il n'avait encore rien fait. Avec aisance, le loup a finalement dit les trois mots qui eventuellement rendraient fou à l'officier: à mes affaires. L'officier n'était pas satisfait avec cette réponse, donc il a répété sa question en criant. Le loup, en se rendant compte de comment l'officier continuait à se mettre en colère, a commencé à rire et à le ridiculiser.
-Mais, t'es sourd, toi, hein! J'ai déjà dit que je vais à mes affaires, fin de l'histoire! -a dit le loup en le regardant avec supériorité.
Fatigué et visiblement énervé, l'officier a mis sa main droite dans sa casaque.
-T'es sûr que tu ne veux pas me dire où tu te diriges? -a demandé l'officier, plus calme maintenant.
Mais le loup ne l'écoutait plus. Il était trop occupé en faisant une danse moqueuse. En ce moment-là, l'officier a sorti un pistolet et a tiré de la gâchette, en provoquant ainsi, que tous les oiseaux qui se trouvaient près d'eux, sortent effrayés des arbres et s'échappent de là-bas. Le loup a immédiatement arrêté de danser et au moment de voir le pistolet dans la main de l'officier, il s'est mis à genoux et, avec des larmes dans les yeux, l'a prié de ne pas le tuer.
-Mais alors, mon cher officier, j'ai horreur des armes à feu! Je te le dis, je te le dis! Je vais chez la grandmère du petit chaperon rouge! -a crié le loup en frémissant
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