La phrase étant au-dessus est, à mon avis, tout à fait vraie. J’affirme cela parce que mes propres expériences me le corroborent. D’abord, je dois dire que je l’ai déjà entendue plusieurs fois. Ce sont mes parents qui me l’ont dit. Même si les mots qu’ils ont utilisés n’étaient pas exactement les mêmes, le sens de la phrase si.
Premièrement, c’est mon père qui insiste toujours sur le fait qu’il faut que je termine ma carrière à l’université. Lui, il a terminé la sienne à trente trois ans et il pense que je ne dois pas du tout suivre son exemple. Au contraire, il est de l’avis que je n’ai même pas dû commencer à travailler. Moi, je ne suis pas d’accord. Je crois que les choses se sont déroulées de telle manière que je me suis vu obligé à laisser mes études de côté, c’est vrai, mais cela ne veut pas dire que je n’aille pas les reprendre éventuellement. Dans tout cas, ce dont je suis sûr c’est que je ne garde pas aucun regret à propos de mes ans à l’ICPNA.
En deuxième lieu, les idées d’aller plus loin et d’aller plus haut représentent, je pense, l’espoir de tous les parents du monde. Il n’est pas besoin d’être très intelligent pour comprendre cela. Trouver des personnes qui soient complètement satisfaites avec leurs vies n’est si facile comme on le croirait Souvent, on entend des gens se plaindre des choses qu’ils n’ont pas pu faire, des lieux où ils ne sont jamais allés ou des projets qu’ils avaient qui ne sont jamais devenus réalité. Donc, lorsqu’on devient mère ou père, on a ce désir, cet espoir comme j’avais dit au début de ce paragraphe, que nos enfants nous surpassent ou qu’ils « aillent plus loin et plus haut ». Le problème (il y a en toujours un) c’est que parfois les parents arrivent à imposer leurs rêves à leurs enfants au lieu de les laisser découvrir les leurs eux-mêmes.
Bref, la société dans laquelle on vit nous demande de faire tout plus vite et d’aller plus loin et plus haut. Nos parents auront toujours leurs idées de comment on doit vivre notre vie, mais à la limite, c’est à nous d’en profiter comme on veut. Après tout, la vie n’est qu’une seule, ¿est-ce que l’on veut vraiment se dépêcher?
Premièrement, c’est mon père qui insiste toujours sur le fait qu’il faut que je termine ma carrière à l’université. Lui, il a terminé la sienne à trente trois ans et il pense que je ne dois pas du tout suivre son exemple. Au contraire, il est de l’avis que je n’ai même pas dû commencer à travailler. Moi, je ne suis pas d’accord. Je crois que les choses se sont déroulées de telle manière que je me suis vu obligé à laisser mes études de côté, c’est vrai, mais cela ne veut pas dire que je n’aille pas les reprendre éventuellement. Dans tout cas, ce dont je suis sûr c’est que je ne garde pas aucun regret à propos de mes ans à l’ICPNA.
En deuxième lieu, les idées d’aller plus loin et d’aller plus haut représentent, je pense, l’espoir de tous les parents du monde. Il n’est pas besoin d’être très intelligent pour comprendre cela. Trouver des personnes qui soient complètement satisfaites avec leurs vies n’est si facile comme on le croirait Souvent, on entend des gens se plaindre des choses qu’ils n’ont pas pu faire, des lieux où ils ne sont jamais allés ou des projets qu’ils avaient qui ne sont jamais devenus réalité. Donc, lorsqu’on devient mère ou père, on a ce désir, cet espoir comme j’avais dit au début de ce paragraphe, que nos enfants nous surpassent ou qu’ils « aillent plus loin et plus haut ». Le problème (il y a en toujours un) c’est que parfois les parents arrivent à imposer leurs rêves à leurs enfants au lieu de les laisser découvrir les leurs eux-mêmes.
Bref, la société dans laquelle on vit nous demande de faire tout plus vite et d’aller plus loin et plus haut. Nos parents auront toujours leurs idées de comment on doit vivre notre vie, mais à la limite, c’est à nous d’en profiter comme on veut. Après tout, la vie n’est qu’une seule, ¿est-ce que l’on veut vraiment se dépêcher?
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