Je n’ai pas eu de rencontres si spéciales dans ma vie, celles que quand on les raconte, laissent les gens avec la bouche ouverte. Au contraire, j’ai connu la plupart de mes amis et mes connaissances d’une manière assez traditionnelle : à l’école, à l’université, dans mon travail, etc. Bien entendu, je n’ai que vingt-et-un ans, je suis sûr qu’au futur, j’aurai des rencontres plus intéressantes. Pourtant, une femme qui a eu une rencontre très particulière est Rebecca, la cousine de ma mère.
Rebecca aime la musique. Elle l’a aimée depuis son enfance. Quand elle avait trente cinq ans, elle avait assez de raisons pour devenir complètement folle. D’abord, elle venait de terminer une relation de dix ans. Le pire ? Elle ne voulait pas terminer, pas du tout. Pour ne pas m’éloigner tant du fait que je veux raconter je dirai seulement que la personne avec qui elle était liée (un arabe) avait décidé qu’il voulait se marier avec elle, avec la condition qu’elle lui donne un fils. Mais la vie, apparemment, avait d’autres plans pour ma tante. Quelle surprise pour eux deux lorsqu’ils sont allés chez le médecin (ils avaient essayé d’avoir un enfant pendant plusieurs mois mais rien ne s’était pas passé malgré leurs « efforts ») et il leur a dit, avec beaucoup de conviction et avec le froideur caractérisant les médecins, que Rebecca ne pouvait pas en avoir. Pour lui (l’arabe dont j’ai oublié le nom) ceci c’était ce que les américains appellent « deal breaker » c’est à dire, un événement ou circonstance déterminant si un couple continuera ensemble ou non. Donc, après de dix ans, il a laissé ma tante seule. Évidemment, au début, elle était vraiment détruite, et pour faire les choses pires encore, elle était au chômage en ce moment-là. Alors, elle restait toute la journée, souvent en pleurant, dans l’appartement que son arabe, en toute sa générosité, avait décidé de laisser dans sa possession.
J’avais dit que je ne voulais pas m’éloigner tant du fait, mais je vois que je n’ai pas réussi. Donc, je vais reprendre mon récit. Comme je disais, Rebecca aimait la musique, et comme ce qu’elle avait en abondance c’était du temps libre, elle a pris l’habitude d’écouter la radio. Je ne sais pas si la station de radio « Ké Buena » existe encore, mais elle l’écoutait religieusement. Parfois, elle même appelait le présentateur, qui selon elle avait une voix très sexy, pour qu’il mette les chansons qu’elle souhaitait écouter. Même s’ils ne s’avaient jamais vu, ils avaient une certaine chimie par téléphone. Chimie qui a fait que me tante réalise un appel téléphonique à cette station de radio tous les jours. Ainsi, ils ont commencé à se connaître. Il les a pris un mois environ pour décider de se mettre face á face dans la vie réelle. De cette manière, ma tante a connu la personne qui deviendrait, pour ainsi dire, son sauveur. Il l’a beaucoup aimée et surtout il l’a aidée à sortir de la dépression dans laquelle elle vivait.
Cette histoire me fait penser à beaucoup de choses. D’abord, le fait que bien qu’on croie que ceux qui disent nous aimer ne nous blesseront jamais, ils peuvent le faire, c’est pour cela qu’il faut réfléchir et décider bien à qui on donne notre confiance totale. D'un côté plus positif, pourtant, il est aussi important de maintenir les yeux, et comme ma tante, les oreilles bien ouvertes, car on ne sait pas quand ou par quel moyen on connaîtra la prochaine personne qui nous fera sentir des papillons dans l’estomac.
Rebecca aime la musique. Elle l’a aimée depuis son enfance. Quand elle avait trente cinq ans, elle avait assez de raisons pour devenir complètement folle. D’abord, elle venait de terminer une relation de dix ans. Le pire ? Elle ne voulait pas terminer, pas du tout. Pour ne pas m’éloigner tant du fait que je veux raconter je dirai seulement que la personne avec qui elle était liée (un arabe) avait décidé qu’il voulait se marier avec elle, avec la condition qu’elle lui donne un fils. Mais la vie, apparemment, avait d’autres plans pour ma tante. Quelle surprise pour eux deux lorsqu’ils sont allés chez le médecin (ils avaient essayé d’avoir un enfant pendant plusieurs mois mais rien ne s’était pas passé malgré leurs « efforts ») et il leur a dit, avec beaucoup de conviction et avec le froideur caractérisant les médecins, que Rebecca ne pouvait pas en avoir. Pour lui (l’arabe dont j’ai oublié le nom) ceci c’était ce que les américains appellent « deal breaker » c’est à dire, un événement ou circonstance déterminant si un couple continuera ensemble ou non. Donc, après de dix ans, il a laissé ma tante seule. Évidemment, au début, elle était vraiment détruite, et pour faire les choses pires encore, elle était au chômage en ce moment-là. Alors, elle restait toute la journée, souvent en pleurant, dans l’appartement que son arabe, en toute sa générosité, avait décidé de laisser dans sa possession.
J’avais dit que je ne voulais pas m’éloigner tant du fait, mais je vois que je n’ai pas réussi. Donc, je vais reprendre mon récit. Comme je disais, Rebecca aimait la musique, et comme ce qu’elle avait en abondance c’était du temps libre, elle a pris l’habitude d’écouter la radio. Je ne sais pas si la station de radio « Ké Buena » existe encore, mais elle l’écoutait religieusement. Parfois, elle même appelait le présentateur, qui selon elle avait une voix très sexy, pour qu’il mette les chansons qu’elle souhaitait écouter. Même s’ils ne s’avaient jamais vu, ils avaient une certaine chimie par téléphone. Chimie qui a fait que me tante réalise un appel téléphonique à cette station de radio tous les jours. Ainsi, ils ont commencé à se connaître. Il les a pris un mois environ pour décider de se mettre face á face dans la vie réelle. De cette manière, ma tante a connu la personne qui deviendrait, pour ainsi dire, son sauveur. Il l’a beaucoup aimée et surtout il l’a aidée à sortir de la dépression dans laquelle elle vivait.
Cette histoire me fait penser à beaucoup de choses. D’abord, le fait que bien qu’on croie que ceux qui disent nous aimer ne nous blesseront jamais, ils peuvent le faire, c’est pour cela qu’il faut réfléchir et décider bien à qui on donne notre confiance totale. D'un côté plus positif, pourtant, il est aussi important de maintenir les yeux, et comme ma tante, les oreilles bien ouvertes, car on ne sait pas quand ou par quel moyen on connaîtra la prochaine personne qui nous fera sentir des papillons dans l’estomac.
1 comentario:
"me encantariá debatir con Ud.Por lo qué, seré yo la parte contraria a su tema.. seré breve".
Hace poco escuché a un amigo comentar unos pequeños elogios a su padre, en agradecimiento ,el día de su graduación, fue casi un honor estar presente y deleitarme de todas las magnitudes sentimentalmente que estaballan en ese instante.Recordé también, que la vida es solo una, y porqué no ser nosotros parte de ella, tratando de equivocarnos menos y siguiendo pasos y no sueños sino ideales de persona para apoyar la noble causa de ser mejores que nuestros padres, aquella ilusión que nace desde nuestro nacimiento y que sin duda, el apoyo de estos son y será parte importante de nuestro desarrollo intelectual y moral.
En primer lugar, un joven confundido, sin iniciativa, limitado, conformista y con sueños de poca aspiración, solo caminará lentamente y se perderá en el camino o mejor dicho, en su propio camino. En segundo lugar,una idea plantada y bien retocada por parte de sus padres hacia este jovén, podrían ayudarlo a alimentar sus sueños, y poder alcanzar altura y sobrevolar en su propio mundo y terreno, esto generá una siembra en su intelecto que más tarde dará pequeños frutos.Es por esto, que se debe aceptar que muchas veces son nuestros padres quienés nos dan ese empujón que tanto nos hace falta,
y porque no hacernos la siguiente pregunta: ¿quienes somos nosotros para juzgar y callar a nuestros padres por ser ciegos y querer lo mejor para nosotros aúnque se equivoquen, preguntémosnos : ¿Qué padre quiere lo peor para su hijo?, ¿qué padre aconsejaría lo peor para su hijo? , por ello cuando pidas un consejo no dudes en buscar los de ellos, pues jamás serán egoístas, hipócritas, críticos, indiferentes e insensibles. Finalmente, creo que es parte de la vida ser algún día padres y será nuestros actos quienés demostrarán como vivir, pensar, sentir y decidir como enseñanza a nuestros hijos,y quizá será dable y agradable darles aquel "Empujoncito".
saludos,
y.v.
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