sábado, 20 de noviembre de 2010

Amour radial

Je n’ai pas eu de rencontres si spéciales dans ma vie, celles que quand on les raconte, laissent les gens avec la bouche ouverte. Au contraire, j’ai connu la plupart de mes amis et mes connaissances d’une manière assez traditionnelle : à l’école, à l’université, dans mon travail, etc. Bien entendu, je n’ai que vingt-et-un ans, je suis sûr qu’au futur, j’aurai des rencontres plus intéressantes. Pourtant, une femme qui a eu une rencontre très particulière est Rebecca, la cousine de ma mère.

Rebecca aime la musique. Elle l’a aimée depuis son enfance. Quand elle avait trente cinq ans, elle avait assez de raisons pour devenir complètement folle. D’abord, elle venait de terminer une relation de dix ans. Le pire ? Elle ne voulait pas terminer, pas du tout. Pour ne pas m’éloigner tant du fait que je veux raconter je dirai seulement que la personne avec qui elle était liée (un arabe) avait décidé qu’il voulait se marier avec elle, avec la condition qu’elle lui donne un fils. Mais la vie, apparemment, avait d’autres plans pour ma tante. Quelle surprise pour eux deux lorsqu’ils sont allés chez le médecin (ils avaient essayé d’avoir un enfant pendant plusieurs mois mais rien ne s’était pas passé malgré leurs « efforts ») et il leur a dit, avec beaucoup de conviction et avec le froideur caractérisant les médecins, que Rebecca ne pouvait pas en avoir. Pour lui (l’arabe dont j’ai oublié le nom) ceci c’était ce que les américains appellent « deal breaker » c’est à dire, un événement ou circonstance déterminant si un couple continuera ensemble ou non. Donc, après de dix ans, il a laissé ma tante seule. Évidemment, au début, elle était vraiment détruite, et pour faire les choses pires encore, elle était au chômage en ce moment-là. Alors, elle restait toute la journée, souvent en pleurant, dans l’appartement que son arabe, en toute sa générosité, avait décidé de laisser dans sa possession.

J’avais dit que je ne voulais pas m’éloigner tant du fait, mais je vois que je n’ai pas réussi. Donc, je vais reprendre mon récit. Comme je disais, Rebecca aimait la musique, et comme ce qu’elle avait en abondance c’était du temps libre, elle a pris l’habitude d’écouter la radio. Je ne sais pas si la station de radio « Ké Buena » existe encore, mais elle l’écoutait religieusement. Parfois, elle même appelait le présentateur, qui selon elle avait une voix très sexy, pour qu’il mette les chansons qu’elle souhaitait écouter. Même s’ils ne s’avaient jamais vu, ils avaient une certaine chimie par téléphone. Chimie qui a fait que me tante réalise un appel téléphonique à cette station de radio tous les jours. Ainsi, ils ont commencé à se connaître. Il les a pris un mois environ pour décider de se mettre face á face dans la vie réelle. De cette manière, ma tante a connu la personne qui deviendrait, pour ainsi dire, son sauveur. Il l’a beaucoup aimée et surtout il l’a aidée à sortir de la dépression dans laquelle elle vivait.

Cette histoire me fait penser à beaucoup de choses. D’abord, le fait que bien qu’on croie que ceux qui disent nous aimer ne nous blesseront jamais, ils peuvent le faire, c’est pour cela qu’il faut réfléchir et décider bien à qui on donne notre confiance totale. D'un côté plus positif, pourtant, il est aussi important de maintenir les yeux, et comme ma tante, les oreilles bien ouvertes, car on ne sait pas quand ou par quel moyen on connaîtra la prochaine personne qui nous fera sentir des papillons dans l’estomac.

miércoles, 17 de noviembre de 2010

Loisir et culture, la combinaison magique

La plupart de gens, lorsqu’ils pensent à la culture ne pensent qu’aux monuments historiques. Bien entendu, ce type de lieux sont considérés comme culturelles par nous tous. Cependant, il ne faut pas oublier les enfants. Ils ne s’intéressent pas aux monuments qu’il y a, mais par les parcs d’attractions et de loisirs. Donc, la question qu’on doit se poser est la suivante : les parcs d’attraction et de loisirs, ¿sont-ils « lieux de culture « ?

À mon avis, la réponse à la question que je viens de poser serait non. Au moins au Pérou, je ne crois pas qu’il existent des parcs de loisirs qui soient aussi lieux culturelles. Les parcs qu’on trouve ici on les voit (et on les utilise) comme lieux pour s’amuser, et c’est tout. Les enfants y vont pour jouer avec d’autres enfants, ou même seuls, et les parents y vont pour se détendre un peu en laissant leurs enfants jouer tranquillement.

Néanmoins, si on vraiment souhait que les parcs dont j’ai parlé deviennent lieux culturelles, il faudrait qu’on les change un peu. D’abord, combiner la culture avec le loisir n’est pas si facile comme quelques-uns croient. Cette combinaison doit être claire pour les parents, mais il est très important qu’elle ne soit pas notée par les enfants, car s’ils s’en aperçoivent, il y a la possibilité qu’ils ne veuillent même pas s’approcher de ces parcs.

En somme, je suis de l’avis que maintenant, il n’y a aucun parc combinant culture et loisir dans notre pays. Cela ne veut pas dire, bien sûr, qu’il n’y en ait pas dans le futur. Si l’État continue à considérer la culture comme partie importante dans le développement général des citoyens, et surtout des enfants, je crois qu’on peut être sûr qu’au futur, on aura beaucoup de parcs donnant pas seulement loisirs, mais un peu de culture aussi aux enfants.

viernes, 12 de noviembre de 2010

L'internet: une source de quoi, exactement ?

Personne ne pourrait nier l’effet que l’Internet a eu dans nos vies. En fait, il y a plusieurs qui affirment que l’Internet a totalement bouleversé le monde et surtout notre manière de nous communiquer. Laissant d’un côté l’aspect communicatif, les entreprises mondiales se sont aperçues aussi des avantages qu’elle peut signifier pour leur business. De plus, beaucoup de chanteurs et chanteuses ont achevé leur notoriété initiale grâce à elle. En somme, l’Internet est présente dans presque tous les secteurs qu’on puisse imaginer, et son apparition a marqué un « avant » et un « après » dans l’histoire des êtres humains.



L’Internet, pourtant, n’a pas pu se libérer des critiques fortes, et a même causé beaucoup de controverse depuis son utilisation massive. D’abord, l’Internet a été accusé pour promouvoir la sédentarité. Cet argument vient surtout des parents préoccupés qui voient tous les jours comment leurs enfants passent beaucoup trop d’heures devant l’ordinateur. Ils ne peuvent pas concevoir qu’un appareil électronique leur donne tant de satisfaction. Les parents se plaignent souvent de l’Internet parce que selon eux, c’est la cause pour laquelle les enfants deviennent moins actifs.

Par rapport à l’éducation, l’Internet a dû y affronter des critiques négatives aussi. Plusieurs professeurs ont remarqué qu’avant, pour faire un travail d’investigation par exemple, les élèves devaient aller à la bibliothèque, chercher des livres, analyser des paragraphes pour pouvoir finalement faire leur travail. Néanmoins, ils pensent que l’Internet fait les choses trop faciles pour eux, car ils ne doivent que surfer sur Internet pour trouver, en question de minutes, les informations dont ils ont besoin. Il y des cas pires même, où les élèves ne font rien et cherchent des travaux déjà terminés par d’autres personnes et ils les présentent comme s’ils les avaient fait.

Finalement, l’Internet joue un rôle en ce qui concerne à la piraterie parce que, avec l’Internet, on peut écouter des disques entiers sans rien payer, on peut regarder des films qui ne se sont pas encore projetés, et on peut même lire des livres gratuitement. La piraterie fait que les chanteurs, les auteurs, les écrivains et les studios de cinéma perdent beaucoup d’argent. On dirait que cela ne nous intéresse pas, on gagne car on ne dépense rien d’argent, mais il ne faut pas oublier que la piraterie est considérée un crime.

Il y a autant ou plus de personnes pour l’Internet qu’il y en a contre elle. En premier lieu, on doit admettre que l’Internet nous apporte la promptitude. On se trouve souvent dans des situations où il nous faut trouver quelques informations de manière immédiate, donc, avec l’Internet on peut le faire.

L’Internet aussi est devenue l’épitomé de la communication. Avant, quand quelqu’un qu’on aimait voyageait à l’étranger, on ne pouvait que nous communiquer avec cette personne par téléphone. Cependant, l’Internet nous permet de parler avec ceux qu’on aime et de les voir aussi en utilisant notre webcam. En profitant des fameux réseaux sociaux, on est toujours en contact avec notre famille et nos amis.

Finalement, l’Internet a ouvert la porte de l’expression de soi même. Il ne faut plus être un écrivain connu ou un chanteur populaire pour être lu ou écouté. Avec la magie d’Internet, on peut se donner à connaître au monde entier. Il y a des millions de personnes qui ont un blog et qui y trouvent des gens qui ont les mêmes goûts et désires qu’eux.

L’Internet est maintenant plus qu’un site virtuel. C’est tout un concept, lié à la communication et à la mondialisation. Quelque chose si grande apporte toujours des opinions opposées. Mais ce qu’on doit tenir en compte, à mon avis, c’est qu’elle n’est qu’un instrument créé par nous-mêmes et qu’on a finalement le choix de l’utiliser. Il est vrai que dans les mains erronées, l’Internet peut servir comme un instrument négatif, même illégal, mais on ne doit pas laisser que cela nous empêche d’en profiter. Il est simplement un signe qui laisse voir que l’Internet dépende de la personne qui l’utilise.

martes, 9 de noviembre de 2010

No al conformismo

La première chose dont je me suis aperçu au moment de vouloir commencer à écrire c’est que, des personnes ayant une grande passion et qui font tout ce qu’elles peuvent pour la vivre, n’est pas précisément facile. Il est impossible d’affirmer avec une certitude absolue les raisons pour lesquelles les gens en général laissent leur vraie passion d’un côté et dédient leurs vies à des autres activités, mais ce qu’on peut faire, à manière peut-être d’introduction, c’est essayer de lister quelques idées pour mieux comprendre ce thème.
En premier lieu, je considère que pour poursuivre nos rêves, il faut avoir beaucoup de courage. Je dis cela parce que, souvent, la vie nous présente des obstacles qu’on doit envisager. Ces obstacles ne sont pas toujours de situations, mais de personnes s’opposant à nos objectifs. Par exemple, même dans les temps modernes dans lesquels on vit maintenant, la plupart de parents n’acceptent pas que leur fils ou leur fille veuille se consacrer aux arts. Ils pensent, j’imagine, que pour avoir une bonne vie, on doit trouver un travail qui nous donne de la stabilité et, bien sûr, assez d’argent pour bien vivre. Pourtant, à mon avis, c’est faire ce qu’on souhaite avec toutes nos forces ce qui donne finalement le bonheur.

En deuxième lieu, je crois qu’il y a de personnes qui simplement se laissent attraper par la routine et ne s’en sortent jamais. Lorsqu’ils trouvent la commodité qui apporte la routine, ils sentent qu’ils n’ont plus besoin de continuer à chercher des autres choses ou des autres expériences.

Il y a deux semaines, j’ai rencontré une fille de vingt quatre ans. Elle s’appelle Nadja et elle est allemande. Sa passion est voyager. Le jour que je l’ai connue, elle m’a beaucoup parlé de sa passion. Elle m’a dit par exemple que, depuis son enfance, elle avait toujours le désir de connaître plusieurs pays. Elle s’intéressait par les diverses cultures du monde et les coutumes que chacune a. Après terminer le collège, elle voulait prendre un an sabbatique pour voyager autour du monde. Cependant, ses parents n’ont pas aimé son idée. Ils voulaient qu’elle commence un métier immédiatement après du collège. Elle a été furieuse d’abord, mais, au même temps, elle comprenait les préoccupations de ses parents. Donc, elle a accepté. En fait, elle a su profiter de son temps parce qu’elle étudiait et travaillait au même temps. L’argent qu’elle gagnait, elle le conservait pour qu’elle puisse l’utiliser dans les voyages qu’elle ferait.

Lorsqu’elle a fini son métier, sans hésiter, elle a pris son sac à dos et elle s’est mise à voyager. Grâce aux contacts qu’elle avait fait dans les travails qu’elle avait eu, elle n’a pas eu de problèmes au moment de voyager. Elle est très contente d’être ici maintenant, mais sa famille lui manque, surtout sa petite sœur. Son histoire me fait penser que si on vraiment désire quelque chose, n’importe quoi, ce n’est qu’à nous de le faire possible.

miércoles, 3 de noviembre de 2010

Généraliser? Jamais!

Les stéréotypes ne sont que des idées préconçues qu'on a d'un certain groupe de personnes. Ces idées viennent usuellement des membres de notre famille ou du groupe d'amis qu'on fréquente. De plus, les moyens de communication contribuent parfois à les renforcer dans nos cerveaux. Il existe. bien sûr, des stéréotypes positifs et negatifs. Ceux qui sont negatifs peuvent même causer des problèmes si graves comme la discrimination.

Personellement, j'ai appris à ne pas faire confiance aux stéréotypes. En fait, je suis de l'avis qu'il ne faut pas généraliser; Je trouve que cela c'est vraiment la pire chose qu'on pourrait faire, car en généralisant, on nie pratiquement le fait que chaque personne est unique. Je ne dis pas qu'il n'y ait pas quelques traits ou attitudes caractéristiques de certains groupes, mais ceci ne veut pas du tout dire qu'il n'y ait pas de personnes appartenant à un groupe en particulier qui vont contre la règle, ou dans ce cas-là, contre le stéréotype. Sinon, toutes les femmes seraient des mauvaises conductrices, tous les hommes seraient émotionellement fermés, et tous les avocats seraient immorals.
Quand j'étais aux États-Unis, la plupart d'americains qui m'ont connu, m'ont dit qu'ils pensaient que tous les péruviens habitaient dans les montagnes et que nous avions des lamas comme animaux de compagnie. En leur montrant des photos miennes, ils se sont rendu compte qu'ils avaient fait une grande erreur en croyant un ridicule stéréotype!